>
Critique de Coetseslivres
Un thriller fantastico-horrifique court et efficace .
J'ai passé un bon moment avec ce roman lu d'une traite. Il mêle le thriller polar (un serial killer), le fantastique (les esprits qui refusent de rejoindre « l'autre côté »), l'ésotérique (le prêtre, et je ne vous en dis pas plus !). Un mélange bien dosé que j'ai apprécié.
La tension augmente graduellement, tout comme le côté horrifique. J'ai été entraînée à la suite des personnages, qui ne laissent pas indifférent. Lucy et ses parents adoptifs sont touchants ; Joshua, le medium, et Matthew le prêtre, ne sont pas des héros sans peur, ni sans faille.
Le suspense monte au fil des pages, tout comme notre envie de savoir. L'auteure a, au départ, alterné les chapitres entre Inverness (l'histoire de Lucy) et Chicago (avec Joshua) Cela donne du rythme et accentue la curiosité. Ça permet aussi d'être dans l'ambiance et bien connaître les différents protagonistes. Pourtant, cela m'a également un peu coupée de l'atmosphère stressante qui commence à naître dans les Highlands.
L'histoire est maîtrisée et bien construite. Les scènes sont explicites, juste ce qu'il faut pour faire monter la tension. le tout étant servi par une écriture dynamique et légère qui nous conduit là où l'auteure veut qu'on aille.
Tout commence comme un thriller polar classique avec ce tueur en série qui s'en prend uniquement aux femmes. Dont Eleanor, tuée sous les yeux de sa petite Lucy, 6 ans, qui sera adoptée par un couple aimant. Puis des morts qui s'accumulent. Une enquête je dirais presque banale menée par Megan Fergusson et Eliott Douglas. L'étrange va entrer sur la pointe des pieds pour se faire de plus en plus présent.
Parallèlement, on part à Chicago à la rencontre de Joshua, un medium avéré. Avec lui, on baigne immédiatement dans le fantastique.
Bien évidemment, les deux vont se mêler. Mais comment ?
Marie-Pierre Nadal nous offre ici un thriller réussi. Un moment d'évasion dans une atmosphère stressante.
A réserver aux amateurs de fantastique. Et à lire de préférence seul le soir, lorsque l'orage est là et que la nature joue son spectacle son et lumière…
J'ai passé un bon moment avec ce roman lu d'une traite. Il mêle le thriller polar (un serial killer), le fantastique (les esprits qui refusent de rejoindre « l'autre côté »), l'ésotérique (le prêtre, et je ne vous en dis pas plus !). Un mélange bien dosé que j'ai apprécié.
La tension augmente graduellement, tout comme le côté horrifique. J'ai été entraînée à la suite des personnages, qui ne laissent pas indifférent. Lucy et ses parents adoptifs sont touchants ; Joshua, le medium, et Matthew le prêtre, ne sont pas des héros sans peur, ni sans faille.
Le suspense monte au fil des pages, tout comme notre envie de savoir. L'auteure a, au départ, alterné les chapitres entre Inverness (l'histoire de Lucy) et Chicago (avec Joshua) Cela donne du rythme et accentue la curiosité. Ça permet aussi d'être dans l'ambiance et bien connaître les différents protagonistes. Pourtant, cela m'a également un peu coupée de l'atmosphère stressante qui commence à naître dans les Highlands.
L'histoire est maîtrisée et bien construite. Les scènes sont explicites, juste ce qu'il faut pour faire monter la tension. le tout étant servi par une écriture dynamique et légère qui nous conduit là où l'auteure veut qu'on aille.
Tout commence comme un thriller polar classique avec ce tueur en série qui s'en prend uniquement aux femmes. Dont Eleanor, tuée sous les yeux de sa petite Lucy, 6 ans, qui sera adoptée par un couple aimant. Puis des morts qui s'accumulent. Une enquête je dirais presque banale menée par Megan Fergusson et Eliott Douglas. L'étrange va entrer sur la pointe des pieds pour se faire de plus en plus présent.
Parallèlement, on part à Chicago à la rencontre de Joshua, un medium avéré. Avec lui, on baigne immédiatement dans le fantastique.
Bien évidemment, les deux vont se mêler. Mais comment ?
Marie-Pierre Nadal nous offre ici un thriller réussi. Un moment d'évasion dans une atmosphère stressante.
A réserver aux amateurs de fantastique. Et à lire de préférence seul le soir, lorsque l'orage est là et que la nature joue son spectacle son et lumière…
