Probablement un léger biais sur la dernière partie du livre du fait de la vexation de
Mishima après le refus de l'auteur de traduire un de ses romans et l'interruption de sa relation avec
Mishima qui en suivi.
La dernière journée est racontée de façon trop brève et journalistique. Mais seul
Mishima aurait pu lui donné toute sa saveur...
Marguerite Yoursenar parle de cet acte comme de son dernier chef d'oeuvre. C'était un homme de théâtre, un acteur. Mais ne serait ce pas lui enlever son souhait d'être au moins un instant en train de vivre ? Contradiction. Peut on vivre lorsque le masque colle au visage ?
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