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Critique de tynn
Le Grand Palais propose en cette fin de 2017, une rétrospective de Gauguin qui va surprendre par l'éclectisme du peintre, dont on retient communément les créations picturales. On découvre un artiste autodidacte et curieux, en perpétuelle recherche créative, se remettant en question au hasard des voyages et villégiatures.
Au fil des salles se découvre un travail dans d'autres productions (gravures, céramiques, bois). le peintre mélange les genres, brouille les cartes des académismes, en les superposant : natures mortes, peintures de genre, portraits, symbolisme, etc...
La Bretagne et les Tropiques sont omniprésents dans les toiles et les décors. La personnalité de l'homme se dessine derrière certaines inspirations et il se dégage du mystère et de la spiritualité dans les thèmes et obsessions.
L'exposition est riche, le livre ne l'est pas moins. Sa complémentarité s'impose pour une meilleure compréhension de la scénographie non chronologique.
Bonne lecture, bonne exposition...
Au fil des salles se découvre un travail dans d'autres productions (gravures, céramiques, bois). le peintre mélange les genres, brouille les cartes des académismes, en les superposant : natures mortes, peintures de genre, portraits, symbolisme, etc...
La Bretagne et les Tropiques sont omniprésents dans les toiles et les décors. La personnalité de l'homme se dessine derrière certaines inspirations et il se dégage du mystère et de la spiritualité dans les thèmes et obsessions.
L'exposition est riche, le livre ne l'est pas moins. Sa complémentarité s'impose pour une meilleure compréhension de la scénographie non chronologique.
Bonne lecture, bonne exposition...
