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Critique de Hugo


Cette critique peut heurter la sensibilité de certains lecteurs.

Pouèt…

Ainsi parlait mon cul quand il s'adressait à mon sous-moi, bullant sa déconvenue dans les larmes de mes yeux d'ahurie que je me paye depuis que je me Nietzschise la tronche à coup d'aphorismes poilants, aux écrits d'une incompréhension addictive, comme-ci ne rien piger me donnait toute légitimité pour me chouter à la vulgarité…

Avant propos, le mec descend seul-tout, à pince avec sa paresse de branlos hermitissieux, pour faire la parabole à tous les trouducs qui font pouèt comme moi cultivant leur sous-moi d'une manière bien torchée …. Ya plus de papier bordel de merde….

La première partie j'ai rien compris, les autres non plus d'ailleurs, quel chiotte, à part que le mec pue l'aigri à vue de montagne, qu'il rejoint souvent pour s'élever, et se taper la branlette intellectuelle avec lui-même, transcendant ses conneries d'une manière poétique et musicale, dansant un pied pointé sur la corde d'un violon, un autre dans le vide abyssale de mon archet, dressé pour s'élever et jouer avec la souplesse de mon poignée, bien trop engourdi pour saisir les accords harmonieux d'une vérité bien cachée, sous mon bide bedonnant souriant de tout son grassouillet, accumulé honteusement dans le dégout… mais ça vous maintient dans l'indifférence…

Pauvre victime d'une névrose corrompue par une enfance mal guérie, m'invitant à surconsommer ma connerie dans ce monde d'enculés qui me pisse son indifférence en ignorant mon mépris, pauvre ver de terre que j'étais, que je reste, que je resterai… écrasé par un système voué à l'échec depuis belle sucette, les cheveux détachées qui dans un mouvement levretique s'adonnant à la plus divine des illusions, qu'un jour peut-être, on ouvrira les yeux sur l'énorme pouèt nucléaire qui immergera d'un illuminé, consommant trop de champignons hallucinomique…

Le nihilisme est contagieux, il propagande les questionneux, se cache des ambitieux, ignore les nécessiteux, un verre de terre qui rampe sa vermine vers les optimistes et gangrène les vertueux à l'eau bénite croupie depuis la genebaise d'une foi révolue athéeistant d'un sur-moi équivalent à l'univers…

Je m'enivre d'aphorisme, oubliant ma sobriété hédoniste, laissez-moi
percher une parabole sur le toit de mon immeuble pour capter mon sur-moi, et enfin saisir toute l'essence de ce bouquin ô combien branlant, me réveillant de ma somnolence pathétique… mais je ne vais me couper les veines aux sons d'un désespoir romanesque dicté par un mort et enterré par la maladie foliesque…

Non bien sur que non, laissez moi rire de moi et des autres, je vais continuer à imiter Candide comme-ci Voltaire avait raison, « parce que tout va bien dans le meilleur des monde », à quoi bon intellectualiser une pensée au dessus de la moyenne chaotique qui peuple notre « chaire » bien tendre engraissée à l'amour propre emmitouflé dans un confort de trouduc intersidéral et jusqu'à l'infini de sa mère la pute… (je vise la mère à personne, sauf si la mère est consentante et pas trop vieille)

Alors un aphorisme c'est quoi :

C'est quand tu dis à ta femme :

« Dégage maintenant, t'es plus une salope, t'es une maman… »

Sous entendu que les seins lui tombent sur les chevilles, que sa peau flétrie sa sagesse, que la voisine va bientôt avoir 18 ans, que le foot finalement c'est pas dégueux, qu'un divorce c'est vite fait, qu'un gosse c'est casse couille, et que la routine c'est mémère…

A plus les copains…



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