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Critique de Gangoueus


Le premier poème introduit une triple nostalgie de celui qui s'exprime. de celui qui est parti : celle de la mère éloignée, celle du pays laissé, celle de la langue maternelle.
« Je maternais ma nostalgie
loin de cette mère tant aimée »
p.9 - Nimrod, Petit éloge de la lumière nature (Ed. Obsidiane, le Manteau & la Lyre)
Depuis son lieu d'observation, « cloué que j'étais dans ces lits d'emprunt & d'exil », il constate « cette langue maternelle toujours prise en échec ». Mais déjà sur ce premier poème, je suis un peu perdu. Car quel est cet « espace nocturne » de l'échec de cette langue maternelle, alors que Nimrod dans une langue française châtiée déploie sa poésie. Quel est cet « espace nocturne » du corps détrempé du narrateur ? Quelle est l'utérine vérité de l'enfant prodigue ? La référence biblique d'un jeune homme qui solde l'héritage familial avant de revenir à sa source. Est-ce la démarche de Nimrod ?
Lien : http://gangoueus.blogspot.co..
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