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Critique de Sachan


Après un début prometteur qui vendait du rêve et surtout une ambiance folle qui collait parfaitement à sa date de sortie pendant la période de Halloween, j'ai été refroidie par ce second tome. Brouillon, voir incompréhensible, l'intrigue est totalement décousue, au point qu'on se demande s'il n'y a pas eu une erreur d'impression dans l'ordre des pages... et non, c'est bien le choix de Kei Monri dans la découpe du manga.
Tsuyu commence enfin à s'habituer à sa nouvelle nature de mort-errant et la morte figure qui l'accompagne. Grâce à Akago, il comprend peu à peu la nature des kuroes et son rôle dans tout cela, même son introduction dans la 4e section de police (qui n'est pas sans rappeler Psycho-pass). Soufflée est la nouvelle coéquipière de Tsuyu, une adolescente joyeuse et pleine de vie, le contraire même des autres mort-errant. le flash-back sur son passé explique comment elle en est arrivée là et c'est le début de la fin pour Shikabana. On ne sait plus qui est qui, gentil ou méchant, présent ou passé, même les actions de combat deviennent totalement incompréhensibles.
Yumi et Kanaya sont deux nouveaux kuroes qui apparaissent, ennemis de Tsuyu et Soufflée, et surtout nouveaux narrateurs de l'histoire. Il y a un parallèle entre ce couple et celui de Tsuyu et Mizore, l'importance de l'amour devient prédominant. Tout tourne autour de ce concept qui ferait qu'un être humain est humain, les kuroes souhaitent se l'accaparer et le couple Yumi-Kanaya illustre parfaitement cette volonté.
Même si on apprend énormément de choses dans ce second opus, c'est un peu indigeste et parfois mal amené, un peu comme si on avait dit au mangaka en plein milieu qu'il ne lui reste que tant nombre de pages pour finir Shikabana. C'est probablement le cas d'ailleurs puisqu'il ne reste qu'un seul tome et je suis totalement perdue, je ne sais absolument pas à quoi m'attendre pour la conclusion, mais cela m'intrigue tout de même de voir comment Kei Monri peut gérer tout cela.
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