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Critique de Sandram47
Un album pour les grands dès le CM.
Des graphismes éclatants et percutants qui attirent le regard et permettent aux petits yeux de chercher et s'attarder sur les détails.
Un hymne à la vérité/beauté de la nature, à son rythme, à sa diversité mais qui montre aussi la colonisation du continent africain et les préjugés des occidentaux.
Un explorateur, aveugle à ce qui l’entoure, emplit de certitudes scientifiques toutes occidentales, finit par se détacher de ses préjugés occidentaux en étant dépouillé par le maître de la forêt et en adoptant les pratiques indigènes. En s’adaptant à son nouvel environnement, il trouve ainsi ce qu'il était venu chercher … ou presque.
En toile de fond, est décrit en très peu de phrases et d'images, l'exploitation et la colonisation des occidentaux sur la forêt congolaise... le mal (industrialisé) « civilisé »subit par ce continent : village traditionnel vidé de ses habitants, exploitation des ressources (cornes d’éléphant : combien abattus ?, déforestation), disparition de la culture locale au profit du colonisateur (bâtiments occidentaux, des visages blancs en habits militaires, aucun visage noir, navire surdimensionné monstrueux, équipage imposé surarmé, ...)
Un album riche qui fait réfléchir ! Je recommande !
Des graphismes éclatants et percutants qui attirent le regard et permettent aux petits yeux de chercher et s'attarder sur les détails.
Un hymne à la vérité/beauté de la nature, à son rythme, à sa diversité mais qui montre aussi la colonisation du continent africain et les préjugés des occidentaux.
Un explorateur, aveugle à ce qui l’entoure, emplit de certitudes scientifiques toutes occidentales, finit par se détacher de ses préjugés occidentaux en étant dépouillé par le maître de la forêt et en adoptant les pratiques indigènes. En s’adaptant à son nouvel environnement, il trouve ainsi ce qu'il était venu chercher … ou presque.
En toile de fond, est décrit en très peu de phrases et d'images, l'exploitation et la colonisation des occidentaux sur la forêt congolaise... le mal (industrialisé) « civilisé »subit par ce continent : village traditionnel vidé de ses habitants, exploitation des ressources (cornes d’éléphant : combien abattus ?, déforestation), disparition de la culture locale au profit du colonisateur (bâtiments occidentaux, des visages blancs en habits militaires, aucun visage noir, navire surdimensionné monstrueux, équipage imposé surarmé, ...)
Un album riche qui fait réfléchir ! Je recommande !
