Retrouvailles manquées avec Cal et
Dante…
Après
Les morsures du froid que j'avais particulièrement apprécié, je me faisais un certain plaisir de retrouver l'ex-flic alcoolo et l'ancien camé dans cette atmosphère bostonnienne si noire qu'elle en devenait fascinante.
Raté. La chaleur étouffante a remplacé le froid glacial des Morsures, mais cela ne suffit pas à enflammer
Les brûlures de la ville. L'attachement de Thomas O'Malley et de
Douglas Graham Purdy à leur ville est toujours-là, omniprésent pendant les 400 pages, mais il ne suffit pas à masquer la faiblesse d'une histoire qui souffre à la fois d'une incroyable lenteur et d'agaçantes incohérences.
Dommage, car Cal O'Brien et Dante Cooper forment un duo d'efficaces paumés récurrents dont les personnages sont – heureusement – bien creusés.
Mais cela ne suffit pas…
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