>
Critique de florencem
Il y a du mieux. Je ne dirais pas qu'on est sorti de l'auberge, si je puis dire, car il y a quand même encore beaucoup trop de scènes puériles et ridicules, mais on commence doucement à voir des sujets plus profonds émerger, et l'intrigue s'épaissir doucement sur l'ascension d'Ikki en tant que dieu de la route du vent. Donc, je garde espoir.
Ce qui manque clairement pour moi jusqu'à présent, c'est de la maturité. J'ai vraiment l'impression de voir des enfants, et d'être à un niveau « pipi-caca » très souvent. Personnellement, ce n'est pas ce que je recherche. Je ne dis pas qu'Ikki ne doit pas avoir l'insouciance de l'adolescence et que Oh ! Great ne doit pas jouer sur le côté « hormones en ébullition », mais il y a un juste milieu pour donner à son personnage un minimum de charisme. Et là… on a beaucoup de mal à en trouver.
Il y a cependant du mieux, comme je le disais. Déjà, on voit le groupe d'amis autour d'Ikki se former et chercher à trouver le but de leur « gang ». Les air treck, c'est une philosophie avant tout, et les garçons ont encore du mal à se situer dans ce nouvel environnement. Heureusement, Ringo est là pour les remettre sur les rails, et on assiste aux prémices de quelque chose qui pourrait devenir très intéressant. Je pense notamment à Kazu. Je l'apprécie beaucoup depuis le départ, mais il était toujours en retrait, et Oh ! Great ne le mettait pas en valeur. Il ne met aucun personnage en valeur pour l'instant de toute façon… Bref. Kazu donc. Qui vit dans l'ombre des autres et qui pourtant a du potentiel. Il nous le prouve ici, et clairement, il tire son épingle du jeu. Il sera probablement le personnage constant qui brillera de temps à autre, sans trop en faire. Un bon équilibre avec Ikki.
Oh ! Great joue donc sur les talents cachés ou bien le fait de se moquer des apparences. Personne n'est réellement ce qu'il prétend être. Cela va du petit personnage que l'on va voir discrètement, à ceux qui ont un rôle clé. J'aime l'idée, même si elle est clairement brouillonne. Les héros ne rentrent pas dans les clous et c'est tant mieux.
Le retour de Rika, l'aînée des soeurs Noyamano, change aussi la donne. Figure maternelle pour la fratrie (Ikki compris), on sent que la jeune femme est plus que le pivot de la famille. Une révélation en fin de tome nous le confirme, mais on a aussi l'impression qu'il y a beaucoup plus. L'arrivée de Sora a aussi quelque chose d'étrange. Bien qu'en fauteuil roulant, le jeune homme a des capacités qui nous éblouissent tout de suite. Personnage énigmatique qui me rappelle énormément Gin, de Bleach. Bonne ou mauvaise chose, j'ai hâte de voir ce que sa présence auprès d'Ikki donnera.
Ce qui manque clairement pour moi jusqu'à présent, c'est de la maturité. J'ai vraiment l'impression de voir des enfants, et d'être à un niveau « pipi-caca » très souvent. Personnellement, ce n'est pas ce que je recherche. Je ne dis pas qu'Ikki ne doit pas avoir l'insouciance de l'adolescence et que Oh ! Great ne doit pas jouer sur le côté « hormones en ébullition », mais il y a un juste milieu pour donner à son personnage un minimum de charisme. Et là… on a beaucoup de mal à en trouver.
Il y a cependant du mieux, comme je le disais. Déjà, on voit le groupe d'amis autour d'Ikki se former et chercher à trouver le but de leur « gang ». Les air treck, c'est une philosophie avant tout, et les garçons ont encore du mal à se situer dans ce nouvel environnement. Heureusement, Ringo est là pour les remettre sur les rails, et on assiste aux prémices de quelque chose qui pourrait devenir très intéressant. Je pense notamment à Kazu. Je l'apprécie beaucoup depuis le départ, mais il était toujours en retrait, et Oh ! Great ne le mettait pas en valeur. Il ne met aucun personnage en valeur pour l'instant de toute façon… Bref. Kazu donc. Qui vit dans l'ombre des autres et qui pourtant a du potentiel. Il nous le prouve ici, et clairement, il tire son épingle du jeu. Il sera probablement le personnage constant qui brillera de temps à autre, sans trop en faire. Un bon équilibre avec Ikki.
Oh ! Great joue donc sur les talents cachés ou bien le fait de se moquer des apparences. Personne n'est réellement ce qu'il prétend être. Cela va du petit personnage que l'on va voir discrètement, à ceux qui ont un rôle clé. J'aime l'idée, même si elle est clairement brouillonne. Les héros ne rentrent pas dans les clous et c'est tant mieux.
Le retour de Rika, l'aînée des soeurs Noyamano, change aussi la donne. Figure maternelle pour la fratrie (Ikki compris), on sent que la jeune femme est plus que le pivot de la famille. Une révélation en fin de tome nous le confirme, mais on a aussi l'impression qu'il y a beaucoup plus. L'arrivée de Sora a aussi quelque chose d'étrange. Bien qu'en fauteuil roulant, le jeune homme a des capacités qui nous éblouissent tout de suite. Personnage énigmatique qui me rappelle énormément Gin, de Bleach. Bonne ou mauvaise chose, j'ai hâte de voir ce que sa présence auprès d'Ikki donnera.
