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Critique de florencem
Après la tragédie qui a frappé une nouvelle fois nos héros, je ne m'attendais pas à un tome de ce genre. Il est intéressant, certes, mais en un sens, j'ai peur qu'il ne nous embrouille un peu plus alors que son but était de nous donner des explications.
Le combat dans le présent n'est pas fini mais nous n'avons que quelques pages à ce sujet. Mitsuomi et Madoka découvre Maya tandis que Soichiro va probablement comprendre que rien n'est fini avec son père. En un sens, cela clôt tout de même cette aventure. Elle est un pivot pour la suite et le passage sans le passé nous prépare à un nouvel arc.
L'esprit de Reiki, le katana ancestral, emmène donc Aya dans le passé au moment où cette guerre a commencé. Oui, il aura fallu quinze tomes pour qu'on nous l'explique. Mais en même temps, du point de vue narratif, c'était le bon moment. Nous découvrons les ancêtres de Aya et Soichiro, les douze familles du phénix, Sohaku et son esprit toujours aussi tordu. le type fricotait déjà avec des expériences contre nature et l'on apprend enfin quel est son pouvoir du dragon. Bref, il faut ouvrir l'oeil car Oh ! Great nous balance pas mal d'informations et il faut faire le tri entre ce qui est intéressant pour la suite ou pas.
Pour être franche, j'ai lu une partie de ce tome en diagonale. Je n'ai pas accroché aux nouveaux personnages, à part Nagi. L'ancêtre d'Aya est vraiment tordu. Et puis ces magouilles qui ne nous apportent pas grand-chose sont assez rédhibitoires. Je suis donc allée à l'essentiel.
Deux grandes questions se posent : d'une part est ce que les liens de parentés des ancêtres de nos héros ont une importance ? Est-ce que les jumeaux ne sont pas la réponse à cette résonnance entre Aya et Soichiro. D'autre part, le Sohaku que nous voyons est-il bien celui du présent ? Si oui, cela va poser problème à nos héros. Et de là, je me dis que toute cette guerre repose au final sur la peur d'un seul homme. La peur de mourir. Un peu dingue en un sens mais pourquoi pas. La peur a depuis le début beaucoup de place dans le manga et exploiter ce filon pourrait être intéressant. Tout comme le fait que le destin est immuable. Nous partons dans un débat philosophique et beaucoup de réflexions. Peut-on vaincre la mort ? Peut-on choisir sa voie ? On sort de la simple compétition, des combats et de la guerre, pour une vue plus globale de la vie.
Le combat dans le présent n'est pas fini mais nous n'avons que quelques pages à ce sujet. Mitsuomi et Madoka découvre Maya tandis que Soichiro va probablement comprendre que rien n'est fini avec son père. En un sens, cela clôt tout de même cette aventure. Elle est un pivot pour la suite et le passage sans le passé nous prépare à un nouvel arc.
L'esprit de Reiki, le katana ancestral, emmène donc Aya dans le passé au moment où cette guerre a commencé. Oui, il aura fallu quinze tomes pour qu'on nous l'explique. Mais en même temps, du point de vue narratif, c'était le bon moment. Nous découvrons les ancêtres de Aya et Soichiro, les douze familles du phénix, Sohaku et son esprit toujours aussi tordu. le type fricotait déjà avec des expériences contre nature et l'on apprend enfin quel est son pouvoir du dragon. Bref, il faut ouvrir l'oeil car Oh ! Great nous balance pas mal d'informations et il faut faire le tri entre ce qui est intéressant pour la suite ou pas.
Pour être franche, j'ai lu une partie de ce tome en diagonale. Je n'ai pas accroché aux nouveaux personnages, à part Nagi. L'ancêtre d'Aya est vraiment tordu. Et puis ces magouilles qui ne nous apportent pas grand-chose sont assez rédhibitoires. Je suis donc allée à l'essentiel.
Deux grandes questions se posent : d'une part est ce que les liens de parentés des ancêtres de nos héros ont une importance ? Est-ce que les jumeaux ne sont pas la réponse à cette résonnance entre Aya et Soichiro. D'autre part, le Sohaku que nous voyons est-il bien celui du présent ? Si oui, cela va poser problème à nos héros. Et de là, je me dis que toute cette guerre repose au final sur la peur d'un seul homme. La peur de mourir. Un peu dingue en un sens mais pourquoi pas. La peur a depuis le début beaucoup de place dans le manga et exploiter ce filon pourrait être intéressant. Tout comme le fait que le destin est immuable. Nous partons dans un débat philosophique et beaucoup de réflexions. Peut-on vaincre la mort ? Peut-on choisir sa voie ? On sort de la simple compétition, des combats et de la guerre, pour une vue plus globale de la vie.
