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Critique de BurjBabil
Petite plongée du souvenir dans la Russie que les gens de l'Ouest (nous quoi) adoraient : celle du démantèlement de l'ex-URSS et de la "fin de l'histoire" marquée par le triomphe du capitalisme impérial occidental.
Des gens peu scrupuleux mais fort riches tentent de récupérer des ogives nucléaires de l'armada soviétique en déshérence. On ne sait pas trop pour quoi faire mais on pense au "spectre" de double zéro sept et de ce genre d'organisations très abondantes au cinéma et dans la littérature...
Heureusement, Alexe est là, plus belle et plus déterminée que jamais. Nous sommes en 1999 et déjà des signes de "me too" sont perceptibles dans la rébellion du mannequin vis à vis de son employeur grand couturier machiste. dans la limite du respect pour la haute couture tout de même...
C'est enlevé, rythmé, écrit pour éviter de se poser trop de questions. Graphiquement, le style a évolué depuis les premiers opus et cela se laisse lire sans déplaisir.
Un divertissement souriant.
Des gens peu scrupuleux mais fort riches tentent de récupérer des ogives nucléaires de l'armada soviétique en déshérence. On ne sait pas trop pour quoi faire mais on pense au "spectre" de double zéro sept et de ce genre d'organisations très abondantes au cinéma et dans la littérature...
Heureusement, Alexe est là, plus belle et plus déterminée que jamais. Nous sommes en 1999 et déjà des signes de "me too" sont perceptibles dans la rébellion du mannequin vis à vis de son employeur grand couturier machiste. dans la limite du respect pour la haute couture tout de même...
C'est enlevé, rythmé, écrit pour éviter de se poser trop de questions. Graphiquement, le style a évolué depuis les premiers opus et cela se laisse lire sans déplaisir.
Un divertissement souriant.
