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Critique de A_la_page_100
« L'asphalte réfractait la chaleur accumulée depuis le matin. » Page 100
Attention déroutant ! Par l'écriture tout d'abord, extrêmement léchée. Je ne compte plus les pages où j'ai dû m'y reprendre à deux fois pour être sûre d'avoir bien compris le sens.
Par l'histoire aussi, celle d'un conducteur de la ligne 11 du métro parisien, qui après avoir subi une décharge électrique, entend tout ce qui se passe dans la tête des voyageurs.
Par le nombre de personnages et leur éruption soudaine dans le roman. Par le chapitrage, une station de métro = un chapitre.
On se balade sur cette ligne entre Châtelet et la Mairie des Lilas et tout y passe : l'amour, le sexe, la solitude, les regrets, la nostalgie, le temps qui passe, les attentats, Charlie Hebdo, la promiscuité, le travail, le rapport au temps, la vie sous-terraine, la vie à l'air libre, le communisme, le capitalisme … On picore des histoires, on se laisse surprendre et parfois on s'ennuie. Un peu comme lors d'un trajet dans le métro parisien !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Attention déroutant ! Par l'écriture tout d'abord, extrêmement léchée. Je ne compte plus les pages où j'ai dû m'y reprendre à deux fois pour être sûre d'avoir bien compris le sens.
Par l'histoire aussi, celle d'un conducteur de la ligne 11 du métro parisien, qui après avoir subi une décharge électrique, entend tout ce qui se passe dans la tête des voyageurs.
Par le nombre de personnages et leur éruption soudaine dans le roman. Par le chapitrage, une station de métro = un chapitre.
On se balade sur cette ligne entre Châtelet et la Mairie des Lilas et tout y passe : l'amour, le sexe, la solitude, les regrets, la nostalgie, le temps qui passe, les attentats, Charlie Hebdo, la promiscuité, le travail, le rapport au temps, la vie sous-terraine, la vie à l'air libre, le communisme, le capitalisme … On picore des histoires, on se laisse surprendre et parfois on s'ennuie. Un peu comme lors d'un trajet dans le métro parisien !
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