Suis-je vraiment le seul à ne pas avoir été sensible à l'oeuvre de Rensuke Oshikiri? Je n'ai rien contre les éléments de violences verbales ou physiques dans une oeuvre, même à profusion...à condition que cela soit mis au service d'une écriture riche et d'un dessin au trait plus nuancé, éléments que je n'ai pas retrouvés...Si le sujet et son traitement global sont évidemment "coup de poing" la pauvreté du scénario et son manichéisme me feraient élever Coq de combat au rang de chef d'oeuvre (c'est dire...)
Où sont les éléments contextuels?? si le manga s'adressait uniquement à de simples adolescents, on s'en moquerait, mais sa crudité exigerait tout de même une plus forte déclinaison, ce qu'il ne fait pas...tombant ainsi dans une forme de "sensationnalisme" que je trouve fort méprisable pour ma part...
Commenter  J’apprécie         83