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Critique de myrtigal
C'est véritablement émue que je referme ce livre. Et je ne m'attendais pas à l'être autant...
Pendant tout le roman, j'ai ris (beaucoup), j'ai voyagé, j'ai été en vacances à la Treille avec Joseph, Augustine, Marcel, le petit Paul et Lili..., j'ai vu les collines, les pièges, les cailloux, la villa. J'ai passé un merveilleux été. Puis je suis retournée à l'école aux côtés de Marcel, j'ai patienté devant le tableau noir, durant les révisions pour l'examen final. J'ai ensuite tremblé pendant les passages en douce devant les châteaux le long du du canal, j'ai tremblé pour Joseph et sa haute idée de l'honneur, pour Augustine et sa crainte des chiens, pour Paul et sa hargne devant le danger, et pour la « petite soeur » effrayée.
J'ai appris tant et tant avec Lili et ses connaissances intarissables, sa gentillesse, sa candeur et surtout son amour pour son ami.
Entre Marseille, Aubagne et La Treille, j'étais paisible. Tout était bien tout était beau.
Puis l'épilogue est arrivé. Et comme une claque en pleine figure j'ai du me rendre à l'évidence; au moment où je lisais ces pages, où je croyais voyager, il n'y avait plus, et depuis bien longtemps déjà, ni Villa, ni canal, ni bagages, ni vacances, ni chemins...
Ni Lili ni Paul...
Comme un enfant perdu en pleine illusion j'ai du revenir à la réalité. Et ce fut rude.
Pendant tout le roman, j'ai ris (beaucoup), j'ai voyagé, j'ai été en vacances à la Treille avec Joseph, Augustine, Marcel, le petit Paul et Lili..., j'ai vu les collines, les pièges, les cailloux, la villa. J'ai passé un merveilleux été. Puis je suis retournée à l'école aux côtés de Marcel, j'ai patienté devant le tableau noir, durant les révisions pour l'examen final. J'ai ensuite tremblé pendant les passages en douce devant les châteaux le long du du canal, j'ai tremblé pour Joseph et sa haute idée de l'honneur, pour Augustine et sa crainte des chiens, pour Paul et sa hargne devant le danger, et pour la « petite soeur » effrayée.
J'ai appris tant et tant avec Lili et ses connaissances intarissables, sa gentillesse, sa candeur et surtout son amour pour son ami.
Entre Marseille, Aubagne et La Treille, j'étais paisible. Tout était bien tout était beau.
Puis l'épilogue est arrivé. Et comme une claque en pleine figure j'ai du me rendre à l'évidence; au moment où je lisais ces pages, où je croyais voyager, il n'y avait plus, et depuis bien longtemps déjà, ni Villa, ni canal, ni bagages, ni vacances, ni chemins...
Ni Lili ni Paul...
Comme un enfant perdu en pleine illusion j'ai du revenir à la réalité. Et ce fut rude.
