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Critique de Murmuresdelivres
Tel un naturaliste, Maurice Guihlon tente de sauver de l'extinction des espèces en voie de disparition : langues, idiomes, patois et autres dialectes. Une rencontre et quelques mots sauvegardés dans les pages de ses précieux carnets et Elisabeth disparaît. Dans le même temps, les dictionnaires semblent souffrir d'une étrange maladie. Jusqu'où Maurice ira-t-il pour sauver cette langue dont elle est la dernière locutrice ?
Amoureux des mots affolés par l'appauvrissement du vocabulaire et de la culture, ce livre est pour vous. Ce court roman est une véritable déclaration d'amour aux langues et à la sauvegarde de cette richesse culturelle.
Un vocabulaire travaillé, et pas toujours accessible, appuie cette volonté de sauver ce qui peut l'être. Il revendique également cet amour des mots, comme pour prouver s'il était besoin que notre langue s'appauvrit de jour en jour. Ce livre invite à la prise de conscience de l'évolution du langage, de l'uniformisation immodérée mais aussi de notre responsabilité dans tout cela.
Un peu confus par moments, le livre est exigeant, tout autant que son personnage principal. La valeur de l'humanité est elle aussi centrale, la faiblesse de l'Homme rappelle qu'Il est responsable de ses propres drames. Un écrit philosophique qui pousse indéniablement à la réflexion.
Amoureux des mots affolés par l'appauvrissement du vocabulaire et de la culture, ce livre est pour vous. Ce court roman est une véritable déclaration d'amour aux langues et à la sauvegarde de cette richesse culturelle.
Un vocabulaire travaillé, et pas toujours accessible, appuie cette volonté de sauver ce qui peut l'être. Il revendique également cet amour des mots, comme pour prouver s'il était besoin que notre langue s'appauvrit de jour en jour. Ce livre invite à la prise de conscience de l'évolution du langage, de l'uniformisation immodérée mais aussi de notre responsabilité dans tout cela.
Un peu confus par moments, le livre est exigeant, tout autant que son personnage principal. La valeur de l'humanité est elle aussi centrale, la faiblesse de l'Homme rappelle qu'Il est responsable de ses propres drames. Un écrit philosophique qui pousse indéniablement à la réflexion.
