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Critique de Hardiviller


Avec le temps , on oublie tout sauf les mauvaises graines , et le poète à la crinière blanche est de ceux-là .
En cadeau avec le livre , un CD d'une trentaine de chansons : " Y en a marre " , " les anarchistes " , " Ils ont voté " , " les étrangers " , " les artistes " , " Thank you Satan " , " L'affiche rouge " etc ....
Pantchenko , ne peut cacher sa tendresse envers l'homme aux chemises noires et aux idées lumineuses .
En 1946 , Ferré participe au gala de la fédération anarchiste et de sa revue " le libertaire ", dont le secrétaire est le bien connu Georges Brassens .
En février 1986 , le TLP-Déjazet ouvre ses portes .... et c'est un peu la trame de ce livre .
Clin d’œil involontaire d'un anar pur porc , Ferré meurt en 1993 le jour du 14 juillet .
" Le jour du 14 juillet , je reste dans mon lit douillet
La musique qui marche au pas , cela ne me regarde pas "
L'histoire du TLP-Déjazet , ou théâtre libertaire de Paris ( dernier vestige du boulevard du crime , d'où le sous-titre du livre ) révèle le nom d'une ribambelle de têtes d'affiches qui y sévirent : Moustaki , Graeme Allwright , Leny Escudero ,
Que dire de plus de ce livre ? Qu'il est extra !
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