>
Critique de Khalya
Dans ce tome, les choses s'accélèrent nettement. Les Vardens sont en marche et reprennent une à une les villes contrôlées par l'Empire.
D'un côté, je suis ravie que Murthag soit en vie, d'un autre je ne sais pas comment ça va se terminer pour lui, mais je garde espoir car il reste mon personnage préféré.
Après la mort du roi nain, Nasuada charge Eragon d'influer au maximum pour que le prochain roi soit favorable aux Vardens.
J'avoue que je supporte de moins en moins Nasuada, d'autant plus que j'aime beaucoup Roran et que je la trouve très injuste envers lui. de plus, à plusieurs reprises, elle envisage de supprimer des gens qu'elle juge être des obstacles, notamment pour son ascendance sur Eragon.
Ce dernier, d'ailleurs, va retourner chez les elfes continuer son apprentissage auprès d'Oromis, lors d'une brève visite, le temps d'obtenir son épée de dragonnier, selon les indications mystérieuses données par Solembum.
Et comme il ne fait rien comme les autres, cette dernière va réagir de façon imprévue au nom qu'ilva lui donner.
De leur côté, Oromis et Glaedr décident de sortir de leur retraite avec des conséquences qu'Erangon aura du mal à accepter.
Eragon fait le lien entre les différents peuples, ce qui est précisément le rôle d'un dragonnier, alors que Nadia voudrait qu'il favorise les humains et surtout qu'il lui reste inféodé (oui je peux vraiment pas la piffrer cette nana).
On sent qu'on se rapproche de l'affrontement final et, avec cette lecture commune, c'est au moins une saga qui ne restera pas des lustres inachevés dans ma PAL.
D'un côté, je suis ravie que Murthag soit en vie, d'un autre je ne sais pas comment ça va se terminer pour lui, mais je garde espoir car il reste mon personnage préféré.
Après la mort du roi nain, Nasuada charge Eragon d'influer au maximum pour que le prochain roi soit favorable aux Vardens.
J'avoue que je supporte de moins en moins Nasuada, d'autant plus que j'aime beaucoup Roran et que je la trouve très injuste envers lui. de plus, à plusieurs reprises, elle envisage de supprimer des gens qu'elle juge être des obstacles, notamment pour son ascendance sur Eragon.
Ce dernier, d'ailleurs, va retourner chez les elfes continuer son apprentissage auprès d'Oromis, lors d'une brève visite, le temps d'obtenir son épée de dragonnier, selon les indications mystérieuses données par Solembum.
Et comme il ne fait rien comme les autres, cette dernière va réagir de façon imprévue au nom qu'ilva lui donner.
De leur côté, Oromis et Glaedr décident de sortir de leur retraite avec des conséquences qu'Erangon aura du mal à accepter.
Eragon fait le lien entre les différents peuples, ce qui est précisément le rôle d'un dragonnier, alors que Nadia voudrait qu'il favorise les humains et surtout qu'il lui reste inféodé (oui je peux vraiment pas la piffrer cette nana).
On sent qu'on se rapproche de l'affrontement final et, avec cette lecture commune, c'est au moins une saga qui ne restera pas des lustres inachevés dans ma PAL.
