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3,55

sur 2022 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Autant la personne est sympathique, autant son livre autobiographique est détestable. Ce n'est qu'un salmigondis de réflexion sur sa sexualité, son rapport au père, autant de pensées autocentrées qui finissent pas lasser. Mal écrit et foutraque, je regrette de m'être laissé avoir par le battage incompréhensible fait autour de ce récit. A fuir.
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Le père de l'auteur annonce qu'il va mourir d'ici peu, mais un an après, il est toujours là et relativement bien portant.
OLe père de l'auteur annonce qu'il va mourir d'ici peu, mais un an après, il est toujours là et relativement bien portant.
Occasion de raconter les rapports incomplets qu'ils ont ; les regrets et les doutes.
Voilà le premier point, ça, ça peut encore passer.
Le second sujet, c'est sa sexualité, dont on se fout complètement, mais qu'il nous déballe en long, en large et en travers.
On connaît le comportement de son sexe à tous les âges de sa vie, dans toutes ses rencontres.
C'est d'un ennui !
Le troisième, c'est sa dépression.
Je pense qu'il devrait changer de psy, parce que le sien ne l'a pas assez aidé pour qu'il se soit cru obliger d'imposer ce livre sur sa vie aux lecteurs.
Bref, la déception la plus totale pour un texte sans aucun intérêt sauf peut-être pour lui-même..ccasion de raconter les rapports incomplets qu'ils ont ; les regrets et les doutes.
Voilà le premier point, ça, ça peut encore passer.
Le second sujet, c'est sa sexualité, dont on se fout complètement, mais qu'il nous déballe en long, en large et en travers.
On connaît le comportement de son sexe à tous les âges de sa vie, dans toutes ses rencontres.
C'est d'un ennui !
Le troisième, c'est sa dépression.
Je pense qu'il devrait changer de psy, parce que le sien ne l'a pas assez aidé pour qu'il se soit cru obliger d'imposer ce livre sur sa vie aux lecteurs.
Bref, la déception la plus totale pour un texte sans aucun intérêt sauf peut-être pour lui-même..
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J'ai trouvé ce livre mal écrit et prétentieux, il essaie de ressembler à un écrivain sans y parvenir, le coté brut et sombre ne m'a pas dérangé mais j'ai trouvé le livre mal construit et assez ennuyant.
















































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Une fois de plus j'ai de la chance ! Je n'ai pas acheté ce livre puisque j'ai pu l'emprunter à la bibliothèque !
J'avoue ne pas comprendre le "buzz" autour de ce "torche-cul" !!!
C'est vulgaire !
C'est l'histoire d'un pauvre mec qui ne sait pas si il est "à voiles ou à vapeur"... et personnellement j'avoue que je m'en fous complètement !
il a des états d'âme avec son père... ça non plus ça ne me passionne pas !
Bref, j'ai lâché l'affaire après 60 pages... la nausée sans doute...
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Sans vouloir être trop dur, je crois que le succès de ce livre est essentiellement dû au fait que l'auteur est un jeune premier de la culture TV hype parisienne qui s'épanche sur son mal être et ses questionnements personnels.
Le livre n'aborde rien en profondeur, tout est trop survolé, écrit au kilomètre et sans réel intérêt pour le lecteur. On y découvre un jeune banlieusard qui règle ses comptes avec son père et son moi mal à l'aise avec son homosexualité, comme s'il se sentait imposteur de sa propre vie. Il y a trop d'égotisme dans ce premier opus, trop d'orgueil boursouflé pour émouvoir. Dommage, l'intention aurait pu être légère et fraiche mais c'est terriblement plat. le genre de livre qu'on oublie avoir lu une semaine après.
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Un exutoire, une confession, une psychothérapie, le tout à la fois plus un cri du corps !
Mais...
Mais ce n'est pas mon exutoire, je ne suis pas prêt pour recevoir une confession, je ne suis pas psychothérapeute et les états d'âme de ce corps m'ont laissé de marbre.

Je n'aurai lu que la moitié du livre, en définitive, lassé rapidement par l'alternance de ces chapitres ou le jeune homme se livre, à la fois intimement mais aussi en pâture.

Le fond ?
Il est raconté, ailleurs, partout, le récit de ce chroniqueur/comédien qui revient sur ses relations conflictuelles avec son père qui se dit à l'agonie.
Ce fond là m'intéresse, l'autorité qui broie, qui casse, qui pèse de tout son lourd poids sur un être en devenir, en construction m'interpelle. La fragile frontière entre éducation et emprise est si facile à franchir pour qui ne fait pas attention.

L'autre fond,
je l'ai touché quand l'auteur nous fait généreusement offrande de ses pérégrinations ou hésitations sexuelles (ha, le paragraphe des morpions !!!) qui, pas une seconde, n'ont fait écho chez moi, lecteur lambda.
Ce n'est pas par pudeur de nonne, vraiment, d'autres lectures intimes ont su me toucher, mais ici, c'est par total désintérêt. Total !
Et alors ?
Il peut coucher avec qui bon lui semble, fille, garçon ou sa propre main, cela ne m'apporte rien. Rien !
De savoir son glissement progressif de l'hétérosexualité de convenance vers une homosexualité ressentie, OK, cela participe à la construction du personnage mais de là à assister avec force détails à ces diverses expériences, bof  !!

Pour ce qui est de la forme, elle m'a intéressé de façon alternative aussi, un peu comme le courant qui nous est vendu par les prises, cela dépend des secteurs.

Quand il couche avec rage les souvenirs anciens qui l'étreignent, je ressens les blessures profondes qui ont entamé l'enfant sensible qu'il était. Je compatis. Je savoure même l'écriture qui épouse parfaitement le propos.

J'ai moins prise avec ce style quand il sert les autres pages de sa vie ou il couche, tout simplement, c'est comme l'éjaculation intellectuelle de celui qui bande mou et enrage de n'en tirer le plaisir espéré.

Une Pascotmania est en route qui ne m'a pas emporté. Sûrement ai-je passé l'âge de ces emportements fulgurants qui, quelque part, masqués par les brumes du temps, me rappellent ceux des ‘nuits fauves' ou un autre jeune comédien à l'avenir prometteur (hélas) se hasardait à se raconter bien loin d'une iconographie de complaisance dont on auréole généralement les artistes promis à une gloire certaine.

Je suis venu, j'ai lu, je n'ai pas aimé.
Pour moi, cette lecture tombera rapidement dans la poussière que je n'ai pas mordue avec l'auteur.
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Bonjour les babeliophiles aujourd'hui petit retour sur ma dernière lecture de 213 pages sur ma liseuse.
Un sujet qui me touche de près pour ses raisons personnelles. Au bout de 15 pages je me suis dit AIE!!!!! Je vais galerer. Alors je sais je ne vais pas être tendre par rapport à toutes les autres bonnes critiques des lecteurs et lectrices.
Alors si ce livre a pu servir de thérapie à l'auteur tant mieux poir ma part ça été non pas une rentrée littéraire mais plutôt une purge. L'écriture m'a ennuyé entre les JE et les ME j'ai été servi!!!et à la fin tout ça pour ça !!! Alors ne connaissant pas M.Panayotis en tant qu'humoriste j'espère au moins qu'il sait faire rire car en tant qu'écrivain............ c'est à revoir.
Mais comme je dis toujours ceci n'est que personnel.
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Alors non, vraiment non. Victime du battage médiatique dont a bénéficié ce livre, je l'ai lu. Jusqu'au bout. Et heureusement qu'il n'est pas long, car je me suis terriblement ennuyé et... énervé. C'est "moi, moi, moi...", "je, je, je...", "ouin, ouin, ouin"... J'avais l'impression de lire le compte rendu d'une de ses séances chez le psy. Alors franchement, non. Il y a tellement d'autres livres excellents (à mon humble avis, bien sûr) à lire, en ce moment, comme "Triste tigre" ou "Le grand secours", lus juste avant cette purge nombrilliste. Alors vite, oublions cette "petite chose" !
Lien : https://www.babelio.com/monp..
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L'auto-fiction est un exercice difficile et exigeant nécessitant, quoi qu'on en pense et peut-être plus encore que pour un roman, un véritable talent de conteur.
J'aime beaucoup le travail de Panayotis que j'ai découvert grâce à ses stand up et sa série Didier. Ce gars a une plume acerbe et inventive qui le place dans un peloton de tête. Aussi, j'aurais aimé le voir aux commandes d'une vraie fiction plutôt que dans cet exercice prétentieux exhibo et sans intérêt. Il y a des gens qui ont infiniment plus de cicatrices sans le secours d'un physique, d'un talent et, par suite et chance (il en faut), sans le secours de la tribune d'un éditeur cynique pour expectorer leur souffrance. Résultat: le sentiment d'assister aux pleurnichouilles d'un millénium gâté relativement à une vie qui ressemble a des millions d'autres. du lu et de l'archilu. Je n'ai rien à foutre des problèmes d'érection de Panayotis. Et il y a encore des journalistes pour trouver "courageux "qu'on évoque ses problèmes de bite sur la place publique... Preuve qu'on peut inventer de bonne histoires et échouer sur la sienne à force d'egocentrisme victimaire. Sans parler du style langage parlé, qui est à la littérature ce que la caméra portée est au cinéma: une feinte, une pose . Trop convenu, trop tôt, et pourtant du potentiel: il faut juste que ce garçon prenne en maturité et travaille de la fiction pendant 10 ou 15 ans, sans se laisser griser par l'effet roi du pétrole que vont lui faire les chiffres des ventes. Mais vu son niveau de nombrilisme dans ce livre, il y a de quoi s'interroger sur la séquence d'après.
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Les sujets abordés auraient pu rendre ce livre introspectif intéressant, d'autant que l'auteur semble promettre une grande honnêteté, sans tabou.
Je pense surtout qu'il s'est pris au jeu de l'artiste. L'artiste qui n'a pas besoin de beaucoup pour être intéressant, sauf qui il est et ce qu'il vit. Pseudo-psychanalyse peut-être intéressante pour lui, mais vide d'intérêt pour moi. Et c'est ce qu'est ce livre : du vide. Peut-être dû aux difficultés qu'il traverse. Mais tout semble tellement forcé pour rendre son histoire dramatique, violente, sale, qu'on en perd toute l'authenticité qui aurait pu me toucher.
C'est un journal intime, chaotique, et qui n'est devenu un livre que parce qu'il a tenté de belles phrases, qui auraient pu être belles si elles avaient un sens.
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