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Critique de SaleGargouille
Je me léchais déjà les babines en contemplant cette mare de sang sur la couverture… tout cela pour qu'au final, Annabelle, premier tome de la trilogie « Pour toi mon amour pour toujours » ne s'avère être qu'une histoire plan-plan d'adultère. Bon, peut-être aurais-je dû tiquer sur le nom de la série, mais tout de même.
Entre une héroïne affreusement lente à la détente (ce qui amène à des confrontations délicieusement inutiles avec son papounet protecteur), des flics sans aucun tact pas intéressé pour un sou par cette histoire de faux (rallongeant là aussi inutilement l'intrigue) et un méchant caricatural à souhait, que reste-t-il à sauver ?
On retrouve dans ce Annabelle toutes les ficelles d'une télénovela, le grand final étant un feu d'artifice du genre avec bien de nombreuses (mal)chanceuses coïncidences. C'était bien la première fois que j'avais envie d'abandonner un roman si près du but, tant les fameuses révélations ne faisaient aucun sens.
Entre une héroïne affreusement lente à la détente (ce qui amène à des confrontations délicieusement inutiles avec son papounet protecteur), des flics sans aucun tact pas intéressé pour un sou par cette histoire de faux (rallongeant là aussi inutilement l'intrigue) et un méchant caricatural à souhait, que reste-t-il à sauver ?
On retrouve dans ce Annabelle toutes les ficelles d'une télénovela, le grand final étant un feu d'artifice du genre avec bien de nombreuses (mal)chanceuses coïncidences. C'était bien la première fois que j'avais envie d'abandonner un roman si près du but, tant les fameuses révélations ne faisaient aucun sens.
