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Critique de BurjBabil


C'est l'histoire d'un type nommé Beauregard . . .
Atteint d'une maladie nouvelle, soigneusement cachée du grand public (complotisme?) : Oculus Umbilicus.
C'est en noir et blanc, ce sont des traits fins et très agréables à voir.
C'est du perler québécois et même s'il y en a chez les Babéliotes, pour moi français métropolitain, c'est toujours un voyage de lire ou écouter ce parler français différent de mon quotidien.
"-J'capote là!"
"-Checke derrière toi!"
"- Es tu correct, mon chum?"
"-J'enlève de tes pattes, tout est beau"
"-On s'refait une game quand tu veux"
Donc, il contracte une maladie moderne du monde virtuel qui lui fait perdre la vision de ses contemporains réels. Maladie ou réalité ?
Le remède? cela commence avec une jeune femme prénommée . . . Claire of course . . .
"Je te niaise"
J'arrête là, devinez son nom de famille parmi ces choix :
- Nivoirien
- Brouyard
- Bellevue
Si vous avez deviné, c'est que pour vous, c'est à lire.

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