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Critique de Diabolau
Il y a quelque chose qui est appréciable dans cette série, et que l'on est loin de trouver dans toutes les sagas fleuves de ce type, c'est un résumé du tome précédent... Et même, luxe suprême, celui-ci se fait également en images !
J'avais relu le tome 1 juste avant de relire celui-ci, mais malgré tout j'ai trouvé ce résumé aidant et confortable pour me mettre en train.
Un très bon deuxième tome, tout entier dans la neige, consacré à la fuite d'Hughes de Crozenc et au début de sa relation quelque peu tumultueuse avec la blonde Alix.
Assez exaspérante, cette Alix, au demeurant, et pas toujours logique avec elle-même : on a vu qu'elle préfère monter à cheval qu'aller en chariot avec les servantes, qu'elle aime accompagner les guerriers à la chasse, mais par contre la vue des pauvres lui est insupportable.
Reste que le décor est toujours fort bien rendu, et que le parler paysan, ou les commentaires scabreux des soudards, sont toujours extrêmement savoureux et authentiques dans des petites saynètes qui accompagnent les protagonistes en toile de fond et qui, bien loin de nous détourner de l'action, contribuent largement à l'atmosphère rustique de cette BD.
Une révélation fracassante sur les origines d'Hughes vous attend dans cet opus... Elle arrive presque trop vite, a-t-on envie de dire.
J'avais relu le tome 1 juste avant de relire celui-ci, mais malgré tout j'ai trouvé ce résumé aidant et confortable pour me mettre en train.
Un très bon deuxième tome, tout entier dans la neige, consacré à la fuite d'Hughes de Crozenc et au début de sa relation quelque peu tumultueuse avec la blonde Alix.
Assez exaspérante, cette Alix, au demeurant, et pas toujours logique avec elle-même : on a vu qu'elle préfère monter à cheval qu'aller en chariot avec les servantes, qu'elle aime accompagner les guerriers à la chasse, mais par contre la vue des pauvres lui est insupportable.
Reste que le décor est toujours fort bien rendu, et que le parler paysan, ou les commentaires scabreux des soudards, sont toujours extrêmement savoureux et authentiques dans des petites saynètes qui accompagnent les protagonistes en toile de fond et qui, bien loin de nous détourner de l'action, contribuent largement à l'atmosphère rustique de cette BD.
Une révélation fracassante sur les origines d'Hughes vous attend dans cet opus... Elle arrive presque trop vite, a-t-on envie de dire.
