Suite et fin de l'histoire de Gaja que l'on retrouve ici à l'âge adulte, toujours entourée de ses poupées, ses plus fidèles compagnes. Son père, aigri et hargneux, vit toujours avec elle et ne compte pas laisser quiconque entrer dans sa vie, mais ce ne sont pas les soupirants qui fuient aussitôt qu'ils ont vu sa difformité qu'elle cache avec un voile qui semble l'inquiéter.
Sa rencontre avec Sébastien, un jeune peintre nous emmène vers une conclusion qui m'a beaucoup plu, triste et douce et qui clôt l'histoire d'une façon assez poétique. Les dessins sont toujours plaisants et rappellent la bulle fragile et sensible dans laquelle évolue Gaja.
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