AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de hellrick


308ème (!) épisode américain de la saga, LES MERCENAIRES DE LA COKE constitue également le premier volet d'une trilogie (poursuivie en France avec OTAGE DU CARTEL et ULTIME DEFI). Nous y retrouvons forcément Mack Bolan mais aussi son petit frère, Johnny, lequel se balade incognito sous le pseudo de…Johnny Depp. Petite note d'humour dans un récit globalement sérieux qui développe une intrigue complexe et multiplie les « méchants » : mercenaires, rebelles, mafieux,…Un véritable bazar qui débute dans les bayous de Louisiane et prend ensuite son envol dans le reste du monde, Mike Newton prenant le temps d'introduire différentes lignes narratives qui vont pouvoir se développer au fil des pages et maintenir l'intérêt du lecteur tout au long de cette saga. de bonnes intentions mais, en pratique, le résultat demeure mitigé : la multiplication des personnages ne rend pas l'ensemble spécialement passionnant et ce premier tome apparait quelque peu brouillon.
Les scènes d'action, placées à intervalles réguliers, apparaissent comme autant de figures imposées exécutées avec professionnalisme mais sans véritable implication ni surprise. La recette très « pulp » reste donc respectée avec son lot de vilains, ces protagonistes venus des quatre coins de la planète et ses passages d'action brutale sans parvenir à susciter un réel intérêt.
LES MERCENAIRES DE LA COKE se laisse cependant lire sans grande difficulté et reste dans la moyenne de ce genre de roman de gare mais on a connu Newton plus original ou inspiré (par exemple dans son très réussi SANGLANT ELDORADO) pour ressortir réellement satisfait de cette aventure routinière. le final donne modérément envie de poursuivre la lecture de la trilogie mais, dans le doute, mieux vaut sans doute choisir un autre des innombrables bouquins consacrés à l'Exécuteur…

Lien : http://hellrick.over-blog.co..
Commenter  J’apprécie          40



Ont apprécié cette critique (3)voir plus




{* *}