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Critique de Tbilissi
Le moins que l'on puisse dire c'est que Geoffroy de Pennart use son concept de contes détournés jusqu'au bout. Ici il y a un petit effet "fond de tiroirs".
Ayant ecrit et dessiné à peu près tout ce qui se rapportait au loup (le chaperon rouge, les chevreaux, Pierre, les cochons...) l'auteur s'intéresse ici au mythe de Blanche-Neige. Igor, le loup plus drôle que méchant, endosse le rôle de la reine maléfique et imbue de sa personne, et Blanchet, le jeune chevreau éponyme, celui de la princesse douce et pure.
Les références sont limpides, et les dessins drôles et vivants, pourtant cette fois-ci la magie n'a pas opéré, ni pour moi, ni pour mes enfants. le concept peine à se renouveler, et on a l'impression de relire indéfiniment le même album, ou son cousin vraiment très proche.
Dommage.
Ayant ecrit et dessiné à peu près tout ce qui se rapportait au loup (le chaperon rouge, les chevreaux, Pierre, les cochons...) l'auteur s'intéresse ici au mythe de Blanche-Neige. Igor, le loup plus drôle que méchant, endosse le rôle de la reine maléfique et imbue de sa personne, et Blanchet, le jeune chevreau éponyme, celui de la princesse douce et pure.
Les références sont limpides, et les dessins drôles et vivants, pourtant cette fois-ci la magie n'a pas opéré, ni pour moi, ni pour mes enfants. le concept peine à se renouveler, et on a l'impression de relire indéfiniment le même album, ou son cousin vraiment très proche.
Dommage.
