p55 "il faut faire confiance à son intuition plus qu'à ses yeux"
L'inconnu était un concept qui m'avait longtemps fait peur, mais je mesurait maintenant toutes les opportunités qu'il recelait. Toute l'anticipation.
D'abord il y a eu la confiance. Puis, la trahison. L'une ne va pas sans l'autre. Seule une personne à qui l'on accorde notre confiance peut nous trahir.
Le chagrin est partagé par toutes et n’épargne aucune femme, peu importe son rang
La magie est partout, il suffit de savoir où regarder
Remerciements :
A celles qui ont envie d'écrire de la fiction historique : vous saurez que vous tenez le bon bout quand vous n'arriverez pas à lâcher vos recherches.
La fiole était telle que je l'avais trouvée, si ce n'est un peu plus propre et floutée de mes propres empreintes. Je caressais l'ours du pouce, songeant à tout ce que la fiole m'avait enseigné : que la vérité la plus brutale ne se trouve jamais en surface. Il faut creuser, la porter à la lumière et la débarrasser de des impuretés.
Mais s'il y a bien une chose en laquelle je crois, c'est en l'importance de suivre ses rêves. Je sais de quoi je parle. Si tu veux faire autre chose de ta vie, la seule chose qui te retienne, c'est toi.
D'abord, il y a eu la confiance. Puis la trahison. L'une ne va pas sans l'autre. Seule une personne à qui l'on accorde notre confiance peut nous trahir.
En supposant que l'apothicaire ait bel et bien existé, je me la figurait ainsi : une vieille femme aux cheveux blancs ébouriffés et aux pointes effilochées par les vapeurs d'un chaudron, filant dans les rues pavées de Londres enveloppée d'une cape noire. Aussitôt, je ris de ma propre imagination : il s'agissait d'une apothicaire, pas d'une sorcière, et on n'était pas dans Harry Potter.