>
Critique de EveQ
Alessandra Fottorino, consultante, sommelière et formatrice d'événements, commence par retracer son parcours pour expliquer la genèse de ce roman graphique. Elle a rapidement pris conscience du climat sexiste et paternaliste de l'univers oenologique. Dans ce roman, elle remet à leur place les femmes à leur juste place dans ce milieu. A cet effet, elle rappelle le rôle majeur que les femmes, plus ou moins connues, ont joué au fil des siècle dans le vin.
Elle dresse le portrait de vigneronnes, sommelières et oenologues et autres professionnelles. A la fin de l'ouvrage, elle sélectionne des cuvées, en mentionnant les vigneronnes, afin d'offrir plus de visibilité aux femmes.
Ce roman graphique, utilisant essentiellement le rouge comme couleur, à côté du trait noir, nous plonge dans l'univers oenologique, en abordant tout l'écosystème du vin sous un angle nouveau. Il nous invite à changer de regard sur ce milieu, encore largement dominé par les hommes. La place des femmes est mis en avant ainsi que les difficultés qu'elles ont dû surmonter. Nous nous reconnaissons toutes dans les « lampées sexistes » qui sont réparties dans l'ouvrage.
Lien : https://www.carnetsdeweekend..
Elle dresse le portrait de vigneronnes, sommelières et oenologues et autres professionnelles. A la fin de l'ouvrage, elle sélectionne des cuvées, en mentionnant les vigneronnes, afin d'offrir plus de visibilité aux femmes.
Ce roman graphique, utilisant essentiellement le rouge comme couleur, à côté du trait noir, nous plonge dans l'univers oenologique, en abordant tout l'écosystème du vin sous un angle nouveau. Il nous invite à changer de regard sur ce milieu, encore largement dominé par les hommes. La place des femmes est mis en avant ainsi que les difficultés qu'elles ont dû surmonter. Nous nous reconnaissons toutes dans les « lampées sexistes » qui sont réparties dans l'ouvrage.
Lien : https://www.carnetsdeweekend..
