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Critique de Sharon
Je n'ai pas lu le tome 1 – à vrai dire, avant de préparer cet article, je ne savais même pas qu'il y en avait un ! Autant dire que ce n'est absolument pas gênant pour lire ce livre.
Sarah et David (c'est juste un peu ennuyeux quand vous connaissez vraiment un Sarah et un David indissociable dans la vraie vie) ont fondé une petite entreprise qui ne connaît pas la crise puisqu'ils tuent des zombies – et tuer des êtres déjà morts, en principe, c'est compliqué ! Ne ratez surtout pas les titres des chapitres, particulièrement évocateurs et stratégiques.
Déjà, ce livre repense la fin du monde – la fin du monde que l'on connaissait. La narration s'appuie sur une culture populaire commune entre lecteurs, et peut-être que le livre vieillira mal quand certaines de ses références seront oubliées. Il n'empêche que certains sujets resteront d'actualité. Comment survivre sans électricité, sans eau courante, sans les plats tout préparés trouvés au supermarché et livrés à domicile ? Comment se déplacer sans transports en commun ? Comment communiquer sans téléphone et sans internet ? C'est à tout ceci, et plus encore que doivent faire face les personnages – sans oublier une charmante épidémie de zombies.
Si j'ai trouvé le roman un peu long à démarrer, l'intrigue s'emballe dès l'apparition de Kevin Barnes, savant qui tente de trouver un remède pour guérir les zombies. Pour cela, il a besoin de l'aide de David et Sarah. L'intrigue connaît alors des rebondissements, prévisibles pour certains (il faut dire que le lecteur est largement averti, reste à savoir à qui il fera confiance, de David ou de Sarah), nettement moins pour d'autres. L'humour permet aussi de rendre lisible ce roman assez sanglant : Sarah n'envisage-t-elle pas, une fois que la vie aura repris son cours, de créer une émission nommée « Danse avec les zombies » ?
Un roman divertissant, à lire si vous n'avez rien contre les zombies (dans un livre, entendons-nous).
Sarah et David (c'est juste un peu ennuyeux quand vous connaissez vraiment un Sarah et un David indissociable dans la vraie vie) ont fondé une petite entreprise qui ne connaît pas la crise puisqu'ils tuent des zombies – et tuer des êtres déjà morts, en principe, c'est compliqué ! Ne ratez surtout pas les titres des chapitres, particulièrement évocateurs et stratégiques.
Déjà, ce livre repense la fin du monde – la fin du monde que l'on connaissait. La narration s'appuie sur une culture populaire commune entre lecteurs, et peut-être que le livre vieillira mal quand certaines de ses références seront oubliées. Il n'empêche que certains sujets resteront d'actualité. Comment survivre sans électricité, sans eau courante, sans les plats tout préparés trouvés au supermarché et livrés à domicile ? Comment se déplacer sans transports en commun ? Comment communiquer sans téléphone et sans internet ? C'est à tout ceci, et plus encore que doivent faire face les personnages – sans oublier une charmante épidémie de zombies.
Si j'ai trouvé le roman un peu long à démarrer, l'intrigue s'emballe dès l'apparition de Kevin Barnes, savant qui tente de trouver un remède pour guérir les zombies. Pour cela, il a besoin de l'aide de David et Sarah. L'intrigue connaît alors des rebondissements, prévisibles pour certains (il faut dire que le lecteur est largement averti, reste à savoir à qui il fera confiance, de David ou de Sarah), nettement moins pour d'autres. L'humour permet aussi de rendre lisible ce roman assez sanglant : Sarah n'envisage-t-elle pas, une fois que la vie aura repris son cours, de créer une émission nommée « Danse avec les zombies » ?
Un roman divertissant, à lire si vous n'avez rien contre les zombies (dans un livre, entendons-nous).
