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Critique de Wyoming
Bien que connaissant à peu près correctement les différents quartiers de Marseille, il m'arrive encore d'emporter ce guide pour aller au plus vite d'un point à l'autre à pied. Il est surtout très précieux pour ceux qui arrivent une première fois dans la cité phocéenne et qui veulent aller à l'essentiel en peu de temps.
Pourtant, Marseille est une cité à laquelle il faut consacrer du temps et, très souvent, avancer sans regarder le Cartoville, pour profiter du lacis des ruelles du Panier ou monter vers la Bonne Mère en tirant vers le ciel sans autre préoccupation. D'ailleurs, pour l'atteindre, le plan sera peu utile, surtout si l'on vient à pied du Prado tant les rues sont nombreuses et serrées.
Marseille, j'entends souvent dire que du mal de cette cité de contrastes, mal non justifié car elle possède des attraits que ne détient aucune autre ville, comme le Vieux-Port avec cette vue incomparable depuis le palais du Pharo, ou le discret vallon des Auffes, ou encore la longue promenade de la Corniche et ses vues féeriques sur le Frioul.
Il faut souvent voir la ville d'en haut pour la comprendre, arriver par le train et admirer la cité avant de descendre l'escalier monumental, monter à pied à Marseilleveyre d'où l'on peut saisir toute la ville d'un coup d'oeil et entrevoir le Canigou enneigé certains matins clairs de février.
Le guide Cartoville est un accessoire utile mais non indispensable. Si on dispose de temps, il ne faut pas hésiter à se perdre dans la ville quitte à utiliser le guide comme point de repère des différents lieux à ne pas manquer.
Pourtant, Marseille est une cité à laquelle il faut consacrer du temps et, très souvent, avancer sans regarder le Cartoville, pour profiter du lacis des ruelles du Panier ou monter vers la Bonne Mère en tirant vers le ciel sans autre préoccupation. D'ailleurs, pour l'atteindre, le plan sera peu utile, surtout si l'on vient à pied du Prado tant les rues sont nombreuses et serrées.
Marseille, j'entends souvent dire que du mal de cette cité de contrastes, mal non justifié car elle possède des attraits que ne détient aucune autre ville, comme le Vieux-Port avec cette vue incomparable depuis le palais du Pharo, ou le discret vallon des Auffes, ou encore la longue promenade de la Corniche et ses vues féeriques sur le Frioul.
Il faut souvent voir la ville d'en haut pour la comprendre, arriver par le train et admirer la cité avant de descendre l'escalier monumental, monter à pied à Marseilleveyre d'où l'on peut saisir toute la ville d'un coup d'oeil et entrevoir le Canigou enneigé certains matins clairs de février.
Le guide Cartoville est un accessoire utile mais non indispensable. Si on dispose de temps, il ne faut pas hésiter à se perdre dans la ville quitte à utiliser le guide comme point de repère des différents lieux à ne pas manquer.
