Le 1er août 2003, la comédienne Marie Trintignant décédait d'un oedème cérébral trois jours après avoir été battue par le leader du groupe de rock
Noir Désir.
Bertrand Cantat a été condamné à huit ans de prison. Mais, Marie Trintignant n'est heureusement pas que ce tragédie fait de violence conjugale. Elle a surtout été une comédienne lumineuse, d'abord poussée devant les caméras par sa mère la réalisatrice
Nadine Trintignant et encouragée par son papa l'acteur
Jean-Louis.
Françoise Piazza signe ici la première biographie de cette femme incandescente qui a brillé sous les feux des projecteurs et qui menait la vie à tambour battant. Une vedette trop tôt disparue et quia fait malgré elle partie de cette trop longue liste de féminicides que plus personne aujourd'hui ne tolère.
Commenter  J’apprécie         10