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Critique de BurjBabil
L'auteur est le cousin du célèbre économiste connu pour son travail sur le capital. J'avais envie de voir ce que cela donnait sur un sujet que je connais bien et que je n'avais pas côtoyé depuis un moment.
J'avoue avoir été un peu déçu par cet ouvrage pourtant assez court, ce qui est une qualité s'il s'agit de concision, d'aller à l'essentiel.
Il annonçait vouloir placer le soldat au coeur du récit, mais l'essentiel est une narration assez convenue du déroulement chronologique de cette dernière grande offensive allemande comme on peut en rencontrer chez d'autres auteurs : panzerdivisionen engagées, commandants donnant des ordres, renforts, etc... Rien de bien folichon.
A vouloir trop scénariser ce qui est quand même dès le début une défaite inéluctable du Reich déjà exsangue, on passe à côté de l'essentiel : la supériorité énorme des alliés en quantité de matériel, la supériorité aérienne quasi totale, et le manque de pétrole du Reich qui même s'il continuait à produire du matériel malgré la dévastation de son territoire par les bombardiers alliés, n'avait plus de quoi les alimenter en précieux carburant.
C'est donc un livre historiquement assez banal, qui délaisse l'essentiel sans pour autant offrir un point de vue original.
Pour un novice, c'est tout de même un récit de guerre correct.
J'avoue avoir été un peu déçu par cet ouvrage pourtant assez court, ce qui est une qualité s'il s'agit de concision, d'aller à l'essentiel.
Il annonçait vouloir placer le soldat au coeur du récit, mais l'essentiel est une narration assez convenue du déroulement chronologique de cette dernière grande offensive allemande comme on peut en rencontrer chez d'autres auteurs : panzerdivisionen engagées, commandants donnant des ordres, renforts, etc... Rien de bien folichon.
A vouloir trop scénariser ce qui est quand même dès le début une défaite inéluctable du Reich déjà exsangue, on passe à côté de l'essentiel : la supériorité énorme des alliés en quantité de matériel, la supériorité aérienne quasi totale, et le manque de pétrole du Reich qui même s'il continuait à produire du matériel malgré la dévastation de son territoire par les bombardiers alliés, n'avait plus de quoi les alimenter en précieux carburant.
C'est donc un livre historiquement assez banal, qui délaisse l'essentiel sans pour autant offrir un point de vue original.
Pour un novice, c'est tout de même un récit de guerre correct.
