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Critique de mireille.lefustec
" Con le peggiori intenzione" paru en 2005, écrit par un jeune professeur de littérature française de 33 ans, a reçu le prix Campiello du premier roman.
Le livre raconte l'irrésistible ascension suivie de l'inévitable décadence des Sonnino, riche famille de Juifs romains, de leurs amis,de leurs collègues, défenseurs et ennemis.
Du non conformiste, épique grand-père Bepy à l'inadapté et perplexe petit-fils Daniel passent les générations, les époques, les tranches d'histoire italienne, des années du boom économique aux années quatre-vingt.
Les premières pages m'ont paru quelque peu déroutantes;
Le narrateur, Daniel, présente sa famille extravagante dont les membres aux comportements excessifs vont jusqu'à la démesure.
J'ai perçu cette première partie comme le brillant exercice de style d'un jeune écrivain...brillant au vocabulaire soutenu.
La seconde partie est différente : de présentateur le narrateur devient metteur en scène de lui-même. Plus d'actions étincelantes mais l'étalage complaisant de ses maladresses, de son insatisfaction permanente.
Là, j'avoue avoir ressenti de la lassitude .
Le livre raconte l'irrésistible ascension suivie de l'inévitable décadence des Sonnino, riche famille de Juifs romains, de leurs amis,de leurs collègues, défenseurs et ennemis.
Du non conformiste, épique grand-père Bepy à l'inadapté et perplexe petit-fils Daniel passent les générations, les époques, les tranches d'histoire italienne, des années du boom économique aux années quatre-vingt.
Les premières pages m'ont paru quelque peu déroutantes;
Le narrateur, Daniel, présente sa famille extravagante dont les membres aux comportements excessifs vont jusqu'à la démesure.
J'ai perçu cette première partie comme le brillant exercice de style d'un jeune écrivain...brillant au vocabulaire soutenu.
La seconde partie est différente : de présentateur le narrateur devient metteur en scène de lui-même. Plus d'actions étincelantes mais l'étalage complaisant de ses maladresses, de son insatisfaction permanente.
Là, j'avoue avoir ressenti de la lassitude .
