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Critique de sylvaine
Je tiens tout d'abord à remercier les éditions du Palais et Babelio pour m'avoir permis de découvrir cette biographie de Carla Serena.
Il aura fallu la curiosité de son arrière-arrière petit-fils Philippe Cramer pour que Carla Serena soit à nouveau mise en avant. Cette femme de la haute société européenne, exilée à Londres en 1849, a été une pionnière. Bénéficiant d'une fortune conséquente, introduite dans les milieux huppés de la société internationale, elle a d'abord commencé par écrire des articles sur les évènements mondains, "couvrant" l'exposition universelle de Vienne en 1873 . Puis de fil en aiguille l'envie lui est venue de partir à l'aventure et d'écrire des billets au cours de son voyage 1874/1878, billets bientôt complétés par des récits détaillés , ethnographiques des lieux visités. Profitant de sa condition féminine, elle a pu pénétrer dans l'intimité des foyers . Son voyage la conduira de la Suède à la Finlande , puis de l'Egypte à la Turquie via la Syrie, petit détour par la Perse et retour après quatre années passées en déambulations dans une zone en guerre la Turquie et la Russie s'affrontent encore une fois, l'Angleterre a ses intérêts à protéger... Carla aurait elle été mandatée par Londres??
Daniela Pizagalli s'appuie sur les billets et sur les récits de voyage de Carla Serena pour nous relater minutieusement, presque minute par minute, le voyage de Carla. Ce récit un peu fastidieux a rendu ma lecture un brin monotone et soporifique, dommage.
Gros bémol, l'avant-propos est truffé de coquilles grossières quant aux dates... mettant à mal d'entrée le sérieux du travail d'historien annoncé.. Quel dommage !!!
Par contre j'ai beaucoup apprécié la qualité de l'iconographie.
Une seule source d'information vaut elle parole d'évangile? .. j'en doute sincèrement .
Il aura fallu la curiosité de son arrière-arrière petit-fils Philippe Cramer pour que Carla Serena soit à nouveau mise en avant. Cette femme de la haute société européenne, exilée à Londres en 1849, a été une pionnière. Bénéficiant d'une fortune conséquente, introduite dans les milieux huppés de la société internationale, elle a d'abord commencé par écrire des articles sur les évènements mondains, "couvrant" l'exposition universelle de Vienne en 1873 . Puis de fil en aiguille l'envie lui est venue de partir à l'aventure et d'écrire des billets au cours de son voyage 1874/1878, billets bientôt complétés par des récits détaillés , ethnographiques des lieux visités. Profitant de sa condition féminine, elle a pu pénétrer dans l'intimité des foyers . Son voyage la conduira de la Suède à la Finlande , puis de l'Egypte à la Turquie via la Syrie, petit détour par la Perse et retour après quatre années passées en déambulations dans une zone en guerre la Turquie et la Russie s'affrontent encore une fois, l'Angleterre a ses intérêts à protéger... Carla aurait elle été mandatée par Londres??
Daniela Pizagalli s'appuie sur les billets et sur les récits de voyage de Carla Serena pour nous relater minutieusement, presque minute par minute, le voyage de Carla. Ce récit un peu fastidieux a rendu ma lecture un brin monotone et soporifique, dommage.
Gros bémol, l'avant-propos est truffé de coquilles grossières quant aux dates... mettant à mal d'entrée le sérieux du travail d'historien annoncé.. Quel dommage !!!
Par contre j'ai beaucoup apprécié la qualité de l'iconographie.
Une seule source d'information vaut elle parole d'évangile? .. j'en doute sincèrement .
