>
Critique de LoupAlunettes
Vu d'en haut, lecteurs plantés au dessus du livre,
nous planons au dessus des maisons.
Vu d'en haut, comme l'a dessiné Marie Poirier, ce sont des jeux de ronds.
Des ronds de couleurs, parfois concentriques de couleurs rouges, bleues, violets, et certains ronds évoluent sur un aplat doré comme le sable de plage.
Justement.
C'est presque de cela dont il s'agit.
Si la couleur nous inspire le sable des plages, la logique nous dicte que Marie Poirier s'est amusée à faire reluire de doré les terrains entiers des maisons du quartier pour mieux nous replacer dans un cadre estival. de la plage, nous n'en sommes pas si loin si les lecteurs observent bien la vue générale du paysage en double-page d'introduction, vu d'en haut.
En se rapprochant de page en page, nous devinons des chapeaux ronds de personnages,
qui évoluent vers des formes que nous finissons par reconnaitre en y regardant de plus près,
vu d'en haut.
Une maison, un chemin, une piscine, un bac à sable, des pommiers, tous presque ronds sauf la maison.
Les personnages vont de l'un à l'autre et les jeunes lecteurs commenceront par se raconter finalement une histoire, suivre le chemin du doigt, on imagine l'histoire d'une agréable après-midi probablement, puisqu'une maman, que l'on devine aussi sous son chapeau rond, apporte un plateau de goûter.
Nous suivons le chat qui rode, joue avec le long tuyau d'arrosage, nous discernons les loisirs de ces deux enfants sur des jeux de zoom et de recul, ils semblent nous faire des sourires aussi, regardant de leurs lunettes noires rondes vers le haut, de leur bouille ronde.
Mais de quoi peuvent-il s'aviser, jumelles à l'appui, après une agréable baignade dans la piscine de jardin et le jeu de grimpe du pommier?
A vous, jeunes lecteurs de découvrir cette chute d'une logique naturelle.
A vous de profiter d'un jeu simple de formes associées, joliment coloré et d'une histoire astucieusement induite par le fil des pages tournées et l'observation des jeunes personnages.
Très chouette!
nous planons au dessus des maisons.
Vu d'en haut, comme l'a dessiné Marie Poirier, ce sont des jeux de ronds.
Des ronds de couleurs, parfois concentriques de couleurs rouges, bleues, violets, et certains ronds évoluent sur un aplat doré comme le sable de plage.
Justement.
C'est presque de cela dont il s'agit.
Si la couleur nous inspire le sable des plages, la logique nous dicte que Marie Poirier s'est amusée à faire reluire de doré les terrains entiers des maisons du quartier pour mieux nous replacer dans un cadre estival. de la plage, nous n'en sommes pas si loin si les lecteurs observent bien la vue générale du paysage en double-page d'introduction, vu d'en haut.
En se rapprochant de page en page, nous devinons des chapeaux ronds de personnages,
qui évoluent vers des formes que nous finissons par reconnaitre en y regardant de plus près,
vu d'en haut.
Une maison, un chemin, une piscine, un bac à sable, des pommiers, tous presque ronds sauf la maison.
Les personnages vont de l'un à l'autre et les jeunes lecteurs commenceront par se raconter finalement une histoire, suivre le chemin du doigt, on imagine l'histoire d'une agréable après-midi probablement, puisqu'une maman, que l'on devine aussi sous son chapeau rond, apporte un plateau de goûter.
Nous suivons le chat qui rode, joue avec le long tuyau d'arrosage, nous discernons les loisirs de ces deux enfants sur des jeux de zoom et de recul, ils semblent nous faire des sourires aussi, regardant de leurs lunettes noires rondes vers le haut, de leur bouille ronde.
Mais de quoi peuvent-il s'aviser, jumelles à l'appui, après une agréable baignade dans la piscine de jardin et le jeu de grimpe du pommier?
A vous, jeunes lecteurs de découvrir cette chute d'une logique naturelle.
A vous de profiter d'un jeu simple de formes associées, joliment coloré et d'une histoire astucieusement induite par le fil des pages tournées et l'observation des jeunes personnages.
Très chouette!
