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Critique de Coetseslivres
Je suis très très loin de ma zone de confort avec ce livre. Et à vrai dire, je ne sais pas vraiment quoi en penser.
C'est une lecture étrange et singulière, voilà les seuls mots qui me viennent en tête. Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé mais j'ai été plus que déroutée.
Ce sont des saynètes, très courtes donc, chacune ayant pour « thème » un mot commençant par hyper. (Hypermnésique, Hypergamie, Hyperproductive…) parfois amusantes, parfois grinçantes et ironiques, parfois plus tristes. Quelques personnages font leur apparition dans plusieurs saynètes ; certaines sont en plusieurs « épisodes, comme Hypercube et Hyperespace, et ne trouvent leur conclusion, leur sens qu'une fois tous les épisodes lus.
Hyper, c'est le « toujours plus », le « chercher plus loin que ce qu'on a ». C'est une lecture à prendre au second degré. Les histoires semblent pour la plupart assez obscures, absconses, si on se contente de les lire en surface. En fait, elles reflètent un certain « état d'être ». La plupart du temps, c'est la démesure pour se démarquer, le « besoin » d'avoir plus. Alors qu'on passe à côté de choses beaucoup plus essentielles.
Pour moi, deux sortent du lot. Hyperman, le super papa d'Alice la jeune narratrice ; une nouvelle assez triste. Et Hypermétrope, avec Marine et Chloé, un texte plus humoristique. Mais là encore, si elles peuvent se lire au 1er degré, elles ont plus que ça à vous dire.
C'est un moment de lecture qui me laisse perplexe et dont je ne saurai pas quoi dire, sinon que j'ai été intriguée. Une chose est sûre, je n'ai pas détesté. Mais c'est inhabituel, déstabilisant et parfois dérangeant. Loufoque et bizarre aussi. Mais plus profond qu'il n'y parait à première vue.
C'est une lecture étrange et singulière, voilà les seuls mots qui me viennent en tête. Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé mais j'ai été plus que déroutée.
Ce sont des saynètes, très courtes donc, chacune ayant pour « thème » un mot commençant par hyper. (Hypermnésique, Hypergamie, Hyperproductive…) parfois amusantes, parfois grinçantes et ironiques, parfois plus tristes. Quelques personnages font leur apparition dans plusieurs saynètes ; certaines sont en plusieurs « épisodes, comme Hypercube et Hyperespace, et ne trouvent leur conclusion, leur sens qu'une fois tous les épisodes lus.
Hyper, c'est le « toujours plus », le « chercher plus loin que ce qu'on a ». C'est une lecture à prendre au second degré. Les histoires semblent pour la plupart assez obscures, absconses, si on se contente de les lire en surface. En fait, elles reflètent un certain « état d'être ». La plupart du temps, c'est la démesure pour se démarquer, le « besoin » d'avoir plus. Alors qu'on passe à côté de choses beaucoup plus essentielles.
Pour moi, deux sortent du lot. Hyperman, le super papa d'Alice la jeune narratrice ; une nouvelle assez triste. Et Hypermétrope, avec Marine et Chloé, un texte plus humoristique. Mais là encore, si elles peuvent se lire au 1er degré, elles ont plus que ça à vous dire.
C'est un moment de lecture qui me laisse perplexe et dont je ne saurai pas quoi dire, sinon que j'ai été intriguée. Une chose est sûre, je n'ai pas détesté. Mais c'est inhabituel, déstabilisant et parfois dérangeant. Loufoque et bizarre aussi. Mais plus profond qu'il n'y parait à première vue.
