On reprend rapidement l'histoire on l'avait laissé dans le tome précédent ( ou la fin du cycle précédent c'est selon), mais cette fois si nous sommes de retour en France alors même que Rocambole se morfond dans une prison anglaise,
Soyons honnête, Rocambole sans Rocambole, c'est un peu comme un chocolat chaud viennois sans lait ni crème. Ça peut se faire, mais c'est un pis allé.
Certes les rebondissements sont bien là, certes le rythme ne manque pas, et Marmouset possède une part de la ruse de Rocambole... mais pas le charme, le panache de notre héros, et j'espère vivement que le second volet de ce cycle nous le fera revenir.
Sinon le style est toujours présent, mais on se sent comme je le suppose l'inspecteur Brackenread lors d'une séance à l'opéra ou la prima donna se fait désirer.
Bref on trépigne sur le fauteuil, et tout en prenant plaisir au spectacle, on attend le retour de l'absent.
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