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Critique de Sachenka


« Puis quand les Allemands essaieront d'avancer, c'est alors que les types comme nous entrerons dans la danse, vous comprenez. » (p. 26) Et, en effet, la Seconde guerre mondiale pousse Nicholas Jenkins, un Anglais de la bonne société aux ambitions plutôt littéraires, à se porter volontaire. La vallée des ossements, le septième tome d'un ensemble de douze appelé « La danse de la vie humaine », se concentre sur ces premiers mois de la guerre. Jenkins n'en est encore qu'aux entrainements, qu'aux manoeuvres, à la vie dans les casernes, aux corvées, etc. Bref, s'habituer à la vie militaire. Si ce n'est pas toujours palpitant, c'est probablement très près de la réalité, sans doute plus que toutes ces scènes de combat héroïques dont on gave les lecteurs (et cinéphiles) la plupart du temps. Aussi, ce n'était pas sans intérêt non plus. Les relations entre les différents officiers, la amitiés et les inimité qui se développent, puis il y a ceux qui s'ennuient, ceux qui ont hâte d'aller au combat, ceux qui se détestent, ceux qui cherchent de l'avancement, etc. En ce sens, c'est presque aussi divertissant que les potins dans la bonne société. Et puis, il y a les permissions. Pendant un bref séjour à Londres, Jenkins se livre à ce qu'il fait de mieux : se tenir au courant de ce qui se passe dans le monde (comprendre ici la société anglaise), question de ne rien perdre des personnages qu'on a croisés dans les tomes précédents et auxquels on reviendra une fois l'intermède de la guerre terminé. Enfin, une surprise : à la toute fin, un « ami » du passé de Jenkins fait son apparition…
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