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Critique de Yanoune
Le père porcher... Ou le bouquin de noël version Pratchett, lu pas du tout à la bonne période...
Pitch :
C'est l'hiver, dans la cité d' Ankh- Morpork on se prépare au passage du père porcher. Suzanne, gouvernante (au tisonnier plutôt leste), s'occupe des décorations avec les deux enfants de la maisonnée. Ailleurs la guilde des Assassins reçoit un contrat bien étrange, qui fait réfléchir, mais pas trop longtemps au vu du paiement. A l'UI, il est question de salle de bain et de porte que l'on ne doit absolument pas ouvrir sous aucun prétexte, même celui de voir ce qu'il y a derrière ( le meilleur... prétexte.) AILLEURS QUELQU'UN SE DÉGUISE POUR PALIER A LA DISPARITION D'UN PERSONNAGE ATTENDU. IL N'A PAS LA GUEULE DE L'EMPLOI. MAIS CA LE FAIT BIEN RIRE !
Moi aussi ça me fait bien rire !
Nan mais qu'est que j'ai rigolé !
Je gloussais dans mon lit !
Alors une histoire qui peut se lire indépendamment du reste du disque monde, même si se sont les mêmes personnages que l'on croise, on est pas perdu (et de toute façon j'ai le guide d'Ankh-Morpork, alors ça va.)
Et que le traducteur est bin il est fortiche ! Pasque niveau jeux de mots, et blagues, dialogues d'anthologies, ça se pose là !
— Où ?
— Là je te dis !
— Ah ok...
Oui tous les romans du disque-monde ne se valent pas (m'enfin vu la quantité c'est un peu normal). Mais avec celui-là, éclats de rire assurés !
Mentions spéciales aux mages de l'UI (université de l'invisible) l'archichancelier en tête. Mais quelle bande de cinglés !
— Yaourt !
— Oui, c'était presque ça... tiens prends tes pilules de grenouille.
Ouais j'adore cette façon de se réapproprier les mythes de toujours, les contes, les légendes, pasque faut pas croire, Pratchett remonte loin pour ce qui est des mythes de l'hiver (très loin même). Il nous les balance à sa sauce, humour, folie, drôlerie.
J'adore ses notes en bas de pages... y a eu des pouffements (je m'obligeais à ne pas rire trop fort, pasque y avait le chéri qui dormait à côté..)
Et en plus, de temps en temps en temps, hop comme ça l'air de rien, y a quelques petites pensées, piques sur l'humain et sa façon de faire, de concevoir la vie... questionnements... Bon certains vont dire que c'est des trucs faciles, il n'empêche qu'ils sont là, comme quoi c'est pas parce qu'on lit de l'humour que ça ne peut pas être intelligent de temps en temps (et Pratchett était le gars intelligent qu'on se le dise!)... faire passer des petits messages de fond, sans oublier un zeste d'humanité, voir d'humanisme. Ça aussi j'aime !
De cette histoire de dingue je ne peux rien dire, il faut laisser la surprise, elle est de taille.
Je peux juste dire que ça m'a fait du bien... que j'ai un sourire jusqu'au oreille...
Pitch :
C'est l'hiver, dans la cité d' Ankh- Morpork on se prépare au passage du père porcher. Suzanne, gouvernante (au tisonnier plutôt leste), s'occupe des décorations avec les deux enfants de la maisonnée. Ailleurs la guilde des Assassins reçoit un contrat bien étrange, qui fait réfléchir, mais pas trop longtemps au vu du paiement. A l'UI, il est question de salle de bain et de porte que l'on ne doit absolument pas ouvrir sous aucun prétexte, même celui de voir ce qu'il y a derrière ( le meilleur... prétexte.) AILLEURS QUELQU'UN SE DÉGUISE POUR PALIER A LA DISPARITION D'UN PERSONNAGE ATTENDU. IL N'A PAS LA GUEULE DE L'EMPLOI. MAIS CA LE FAIT BIEN RIRE !
Moi aussi ça me fait bien rire !
Nan mais qu'est que j'ai rigolé !
Je gloussais dans mon lit !
Alors une histoire qui peut se lire indépendamment du reste du disque monde, même si se sont les mêmes personnages que l'on croise, on est pas perdu (et de toute façon j'ai le guide d'Ankh-Morpork, alors ça va.)
Et que le traducteur est bin il est fortiche ! Pasque niveau jeux de mots, et blagues, dialogues d'anthologies, ça se pose là !
— Où ?
— Là je te dis !
— Ah ok...
Oui tous les romans du disque-monde ne se valent pas (m'enfin vu la quantité c'est un peu normal). Mais avec celui-là, éclats de rire assurés !
Mentions spéciales aux mages de l'UI (université de l'invisible) l'archichancelier en tête. Mais quelle bande de cinglés !
— Yaourt !
— Oui, c'était presque ça... tiens prends tes pilules de grenouille.
Ouais j'adore cette façon de se réapproprier les mythes de toujours, les contes, les légendes, pasque faut pas croire, Pratchett remonte loin pour ce qui est des mythes de l'hiver (très loin même). Il nous les balance à sa sauce, humour, folie, drôlerie.
J'adore ses notes en bas de pages... y a eu des pouffements (je m'obligeais à ne pas rire trop fort, pasque y avait le chéri qui dormait à côté..)
Et en plus, de temps en temps en temps, hop comme ça l'air de rien, y a quelques petites pensées, piques sur l'humain et sa façon de faire, de concevoir la vie... questionnements... Bon certains vont dire que c'est des trucs faciles, il n'empêche qu'ils sont là, comme quoi c'est pas parce qu'on lit de l'humour que ça ne peut pas être intelligent de temps en temps (et Pratchett était le gars intelligent qu'on se le dise!)... faire passer des petits messages de fond, sans oublier un zeste d'humanité, voir d'humanisme. Ça aussi j'aime !
De cette histoire de dingue je ne peux rien dire, il faut laisser la surprise, elle est de taille.
Je peux juste dire que ça m'a fait du bien... que j'ai un sourire jusqu'au oreille...
