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Critique de amanline


L'étrange inspecteur du FBI, Pendergast reprend du poil de la bête après ses mésaventures au Brésil et la traque de son fils Alban, l'implacable et talentueux tueur des hôtels. Mais le répit est de courte durée. Lors d'une soirée tranquille au coin du feu, voilà que l'on dépose à la porte du sa somptueuse demeure le cadavre de ce fils maudit. Tout en sachant se jeter dans la gueule du loup, se jeter dans un piège d'un adversaire retors, Pendergast va tenter de comprendre ce singulier message et traquer ce nouvel ennemi jusqu'aux favélas de Rio. Qu'a pu faire son fils durant ces dix huit mois ?
Parallèlement, D'Agosta du NYPD, est affecté sur le meurtre d'un chercheur associable perpétué dans une galerie du Muséum d'Histoire Naturelle de New York.

Comme à l'accoutumée les auteurs nous balade. du rythme, des rebondissement, de l'action, bref peu le temps de souffler. On a juste envie de tourner frénétiquement les pages pour aboutir au dénouement. On retrouve les personnages récurrents des précédents romans même si pour certains cela remonte un peu dans le temps mais c'est avec plaisir qu'on les accueille. J'ai apprécié tous ces clins d'oeil aux aventures de Pendergast, D'Agosta , Constance et Margo dans ces lieux emblématiques comme le muséum . J'ai également apprécié d'en apprendre un peu plus sur les ancêtres de Pendergast et de découvrir sous ces parties de voiles qui se soulèvent, quelques mystères dévoilés . Même si, bien entendu, rien ne vaut la lecture de ces aventures dans le bon ordre, ce que j'avoue n'est pas toujours mon cas.
Dans ce roman, l'agent du FBI n'est pas au mieux de sa forme, victime d'une implacable vengeance. D'ailleurs, c'est surtout Constance qui se retrouve sur les devants de la scène et qui va devoir se démener, et cela se ressent un peu.

Bref, pas de déception et un bon moment de lecture.
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