Dans la famille Plomeur, on est boucher de père en fils. Et le jeune André ne faillit pas à la tradition : il apprend à lire, écrire et compter au milieu de la boutique familiale, en situation réelle. Ainsi, son alphabet ressemble à ceci : A comme abats, B comme
bifteck, C comme côtelette, … Très tôt, le jeune homme découvre, en charmante compagnie, son don pour l'amour : sorti de son comptoir, le jeune boucher sait également faire chanter la chair. Un atout de taille à une époque où les hommes sont mobilisés au front. Devant la boucherie, on fait file pour les charmes d'André…
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