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Critique de lechristophe
Autant le dire tout de suite, j'ai apprécié "La danse du loup" le premier tome de la trilogie (ou tétralogie, la préface annonçant une tétralogie mais de trois tomes ! ou pentalogie puisque le site de l'éditeur prévoit cinq tomes) historique "Le chevalier noir et la dame blanche" écrite par Hugues de Queyssac, même si j'ai quelques griefs. Cela ne va pas m'empêcher toutefois de remercier Babelio et sa Masse Critique de m'avoir sélectionné ni l'éditeur Evidence Éditions de m'avoir envoyé cet ouvrage.
En pleine Guerre de Cent ans, Bertrand Brachet de Born, premier écuyer d'un baron périgourdin, tombe amoureux d'une apparition dont il a entrevu en rêve les armoiries. Il n'a que ce seul indice pour effectuer des recherches mais il doit également accomplir ses tâches au service de son baron et de ses trois chevaliers. Tout se complique lorsqu'il est accusé d'un crime horrible : le meurtre d'un chevalier Hospitalier...
D'abord, l'auteur emploie un style agréable, très enlevé, avec une bonne dose d'humour. le récit est raconté à la première personne (du singulier ou du pluriel). Ce qui saute immédiatement aux yeux, c'est l'utilisation de très nombreux mots ou expressions du français du XIVe siècle. Ils ajoutent une touche originale au récit et nous font rentrer immédiatement dans l'ambiance. Malheureusement, bien que ceux-ci soient aisément compréhensibles pour la plupart dans le contexte, il aurait été utile que le glossaire annoncé page 6 soit bien présent (mon exemplaire n'en contenait pas !). Un petit guide d'initiation à l'héraldique n'aurait également pas été de refus au vu de son importance dans le récit.
Ma plus grande critique concerne les fins de chapitres dans lesquelles l'auteur essaye d'instaurer du suspens avec des phrases conjuguées au futur ou au conditionnel. Ces ajouts maladroits, artificiels constituent une cassure dans son style, à mon avis.
Mais tout ceci ne va pas m'empêcher de sûrement me procurer les tomes suivants pour connaître le devenir de ce si sympathique écuyer qu'est Bertrand Brachet de Born.
En pleine Guerre de Cent ans, Bertrand Brachet de Born, premier écuyer d'un baron périgourdin, tombe amoureux d'une apparition dont il a entrevu en rêve les armoiries. Il n'a que ce seul indice pour effectuer des recherches mais il doit également accomplir ses tâches au service de son baron et de ses trois chevaliers. Tout se complique lorsqu'il est accusé d'un crime horrible : le meurtre d'un chevalier Hospitalier...
D'abord, l'auteur emploie un style agréable, très enlevé, avec une bonne dose d'humour. le récit est raconté à la première personne (du singulier ou du pluriel). Ce qui saute immédiatement aux yeux, c'est l'utilisation de très nombreux mots ou expressions du français du XIVe siècle. Ils ajoutent une touche originale au récit et nous font rentrer immédiatement dans l'ambiance. Malheureusement, bien que ceux-ci soient aisément compréhensibles pour la plupart dans le contexte, il aurait été utile que le glossaire annoncé page 6 soit bien présent (mon exemplaire n'en contenait pas !). Un petit guide d'initiation à l'héraldique n'aurait également pas été de refus au vu de son importance dans le récit.
Ma plus grande critique concerne les fins de chapitres dans lesquelles l'auteur essaye d'instaurer du suspens avec des phrases conjuguées au futur ou au conditionnel. Ces ajouts maladroits, artificiels constituent une cassure dans son style, à mon avis.
Mais tout ceci ne va pas m'empêcher de sûrement me procurer les tomes suivants pour connaître le devenir de ce si sympathique écuyer qu'est Bertrand Brachet de Born.
