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Critique de maylibel


Cornouailles, 1816. Henriette Barrett, que tout le monde appelle Henry, n'a que 20 ans, mais depuis déjà six ans elle administre seule Stannage Park, le domaine de son père adoptif. Mais celui-ci vient de mourir. le domaine revient à un lointain cousin londonien, Dunford, qu'Henry est bien décidée à dégoûter au plus vite de la vie à la campagne.

L'Insolente de Stannage Park est un roman qui a un défaut principal : 80 pages de trop. Si l'auteure avait conclu le roman plus tôt (avant l'entrée dans le monde de l'héroïne), l'histoire aurait été parfaite. Mais ces longueurs finales superflues gâchent tout le plaisir offert par cette lecture, transformant deux héros fins et intelligents en aveugles incapables de communiquer. le style subtil de Julia Quinn et une intrigue bien construite (malgré son invraisemblance) dans ses 297 premières pages ne parviennent pas à sauver la déplorable impression que laissent sur le lecteur les inutiles rebondissements finaux.

Une romance régence qui commence bien mais finit mal. Dommage.
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