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Critique de Allantvers


« Avant de peindre un bambou, il faut que le bambou pousse en votre for intérieur. »

Ce que fait l'auteur, Afghan exilé en Inde puis en France, dans ses « callimorphies », esquisses très éthérées et sensuelles de corps et de représentations du monde, auxquelles l'ont mené ses cours de calligraphie reçus dans l'enfance.
« Moi je me suis embarqué dans cette voie par l'exil, la langue, le désir et l'absence » dit-il.

Un court texte aussi profond aérien sur l'intimité de la création dans l'exil, riche des valeurs immatérielles de la culture orientale de l'auteur.
Il me faudra en faire je pense une deuxième, voire une troisième lecture car, portée par le mouvement du calame, ce roseau-pinceau, je crains d'avoir glissé trop vite sur certains passages.

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