Lu d'une traite, portée par le souffle de l'écriture et de cette voix de femme qui trouve son chemin et sa puissance face à son mari inerte - un coma - dans une chambre encerclée de violence (tirs, explosions, visiteurs), tiraillée entre son obéissance acquise et une revendication intime qui explose en tous sens.
Le risque lorsqu'on lit d'une traite, avide de la fin, c'est la déception des dernières phrases de l'histoire... cette nuit, dans mon insomnie, je n'ai pas trouvé crédible. Mais dans le film tiré de ce livre, ça doit être saisissant.
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