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Critique de PGilly
Un ouvrage alerte sur le vieillir en dehors des âges battus. le jeunisme, le marketing ciblé ménopause, la protection sanitaire inhérente au grand âge sont remis à leur place, loin d'une vieillesse assumée avec une liberté nouvelle et une lucidité sur ses capacités remodelées.
En bonne psychosociologue, Danielle Rapoport alterne témoignages, observations et impressions personnelles. le cerveau est malléable et plastique, 80% de nos gènes sont influencés par l'environnement, les anciens ont donc de la marge de manoeuvre. le tableau brossé des vieux jours n'est pas qu'idyllique mais il inspire une approche dynamique d'un âge de la vie où bien des possibles se présentent ; à nous de les saisir et de laisser la gamberge au vestiaire. La grand-parentalité, la sexualité, le flétrissement corporel, l'auteure brasse large et franc, redonnant du tonus à celles et ceux qui se voyaient déjà à l'arrière du peloton, bénéficiant d'une estime polie certes, mais ne pouvant s'empêcher de se sentir moins utiles, voire inutiles. Donner du sens au tiers encore à vivre de l'existence, c'est l'assurance de vieillir heureux. C'est le moment de réécouter Frank Sinatra et cette très belle chanson sur les quatre saisons de la vie : It was a very good year.
Lien : http://cinemoitheque.eklablo..
En bonne psychosociologue, Danielle Rapoport alterne témoignages, observations et impressions personnelles. le cerveau est malléable et plastique, 80% de nos gènes sont influencés par l'environnement, les anciens ont donc de la marge de manoeuvre. le tableau brossé des vieux jours n'est pas qu'idyllique mais il inspire une approche dynamique d'un âge de la vie où bien des possibles se présentent ; à nous de les saisir et de laisser la gamberge au vestiaire. La grand-parentalité, la sexualité, le flétrissement corporel, l'auteure brasse large et franc, redonnant du tonus à celles et ceux qui se voyaient déjà à l'arrière du peloton, bénéficiant d'une estime polie certes, mais ne pouvant s'empêcher de se sentir moins utiles, voire inutiles. Donner du sens au tiers encore à vivre de l'existence, c'est l'assurance de vieillir heureux. C'est le moment de réécouter Frank Sinatra et cette très belle chanson sur les quatre saisons de la vie : It was a very good year.
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