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Critique de Carteroutiere
Petit livre très clair sur ce qu'est le shintô. C'est d'autant plus méritant car comme l'explique l'auteur, le shintoisme a pris de nombreux visages dans le temps et aujourd'hui encore a autant de définition qu'il y a peut-être de Japonais, notamment dans son rapport au Bouddhisme.
J'en retiens que le shintoïsme est une forme d'animisme reposant sur la vénération local ou régional de dieux locaux, les « kami » et que cela reprend nombre de vieilles traditions très anciennes, notamment dans le monde rural. son manque de doctrine, de livre sacrée, de pères ou mères fondateurs est à la fois une faiblesse, mais aussi une force pour s'adapter.
Autre signe intéressant : il s'exporte mal, même auprès des communautés Japonaises.
On retrouve cela dans nombre de « grandes » religions comme le judaïsme, la chrétienté ou l'Islam, où à côté des doctrines, les membres de ces religions vénèrent qui des saints locaux ou professionnels, des tombes de martyrs ou de religieux et y font des pèlerinages.
J'ai le souvenir en Egypte d'un petit village où la tradition voulait que la dépouille d'un religieux soit promené trois fois autour de la ville, une fois / an, pour protéger la ville. Il y a trente ans, des fouilles ont exhumé un temple. A la lecture de ses bas reliefs, les archéologues ont découvert que cette traduction existait alors.
Aujourd'hui la shintoïsme bénéficie de beaucoup d'attentions de Japonais à propos de leurs chances : réussite aux examens, chance en affaires...
J'ai bien aimé à la fin sur le futur du shintoïsme dans un monde urbain. Cela nous sert de miroir par rapport à l'évolution de nos propres religions en Occident.
J'en retiens que le shintoïsme est une forme d'animisme reposant sur la vénération local ou régional de dieux locaux, les « kami » et que cela reprend nombre de vieilles traditions très anciennes, notamment dans le monde rural. son manque de doctrine, de livre sacrée, de pères ou mères fondateurs est à la fois une faiblesse, mais aussi une force pour s'adapter.
Autre signe intéressant : il s'exporte mal, même auprès des communautés Japonaises.
On retrouve cela dans nombre de « grandes » religions comme le judaïsme, la chrétienté ou l'Islam, où à côté des doctrines, les membres de ces religions vénèrent qui des saints locaux ou professionnels, des tombes de martyrs ou de religieux et y font des pèlerinages.
J'ai le souvenir en Egypte d'un petit village où la tradition voulait que la dépouille d'un religieux soit promené trois fois autour de la ville, une fois / an, pour protéger la ville. Il y a trente ans, des fouilles ont exhumé un temple. A la lecture de ses bas reliefs, les archéologues ont découvert que cette traduction existait alors.
Aujourd'hui la shintoïsme bénéficie de beaucoup d'attentions de Japonais à propos de leurs chances : réussite aux examens, chance en affaires...
J'ai bien aimé à la fin sur le futur du shintoïsme dans un monde urbain. Cela nous sert de miroir par rapport à l'évolution de nos propres religions en Occident.
