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Critique de Vexiana
Ce n'est que ma deuxième lecture d'un ouvrage de cette collection de BD de vulgarisation sur des thèmes très divers.
A chaque fois, l'auteur et le dessinateur sont différents et le secret d'un tome réussi et la parfaite symbiose entre l'auteur et le dessinateur et leur maitrise respective de leur sujet.
Ici, côté sujet, on ne risque pas d'être déçu : Hubert Reeves nous parle d'autonomie.
Les grandes lignes de ses théories sont exposées à grands renforts de comparaisons avec la peinture et la musique par exemple.
On peut toutefois regretter la rapidité de la narration et le manque d'approfondissements mais l'ensemble se lit avec intérêt. Je ne cache pas que je suis un peu mal à l'aise avec ce genre de sujets. Ces grandeurs colossales, ces durées qui se content en milliard d'année me causent des vertiges et des peurs sourdes...chacun ces petites phobies, n'est ce pas?
Côté dessin, Daniel Casavane réussit un joli album, c'est coloré et très vivant avec un Hubert Reeves particulièrement attachant.
A chaque fois, l'auteur et le dessinateur sont différents et le secret d'un tome réussi et la parfaite symbiose entre l'auteur et le dessinateur et leur maitrise respective de leur sujet.
Ici, côté sujet, on ne risque pas d'être déçu : Hubert Reeves nous parle d'autonomie.
Les grandes lignes de ses théories sont exposées à grands renforts de comparaisons avec la peinture et la musique par exemple.
On peut toutefois regretter la rapidité de la narration et le manque d'approfondissements mais l'ensemble se lit avec intérêt. Je ne cache pas que je suis un peu mal à l'aise avec ce genre de sujets. Ces grandeurs colossales, ces durées qui se content en milliard d'année me causent des vertiges et des peurs sourdes...chacun ces petites phobies, n'est ce pas?
Côté dessin, Daniel Casavane réussit un joli album, c'est coloré et très vivant avec un Hubert Reeves particulièrement attachant.
