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Critique de feanora
Quelle vie riche, une vie totalement consacrée à la musique!
Karajan, l'homme aux sept vies, toutes au service de la musique.
Ce géant de la musique est né en 1908 à Salzbourg, dans une famille de petite noblesse. Il est un enfant très aimé. Très jeune, il est un virtuose du piano mais il doit abandonner la carrière de pianiste, en raison de violentes douleurs dans les mains.
C'est alors qu'il décide de devenir chef d'orchestre. Il recevra l'enseignement des plus grands musiciens de l'époque dont le maître Paumgartner. Àgé de 21 ans, Il commence sa fabuleuse carrière à Ulm, avec un orchestre à reconstruire. Très vite, avec ses premiers concerts, il rencontre le succès, même s'il n'a que de petits budgets pour monter ses spectacles.
En janvier 1933, le monde a basculé, Hitler est devenu Chancelier, mais le chef d'orchestre refuse de quitter l'Allemagne, ne voyant pas ce qui se passe autour de lui, alors les musiciens d'origine juive fuient à l'étranger.
Inquiet sur son sort, Karajan s' inscrit au parti national-socialiste, sans penser aux conséquences futures.
Il ne sera jamais un militant.
Il faut dire qu'Herbert n'a qu'une obsession: la musique, rien que la musique dans sa perfection et sa volonté d'être toujours le meilleur, le premier.
En 1934, il est nommé à Aix la Chapelle. C'est là qu'il rencontre sa première épouse, chanteuse d'opérette, mais le mariage fut éphémère.
Il est très vite appelé à Berlin (1938) oú ses concerts sont des triomphes. Il joue devant le Führer mais sera vite en disgrâce en raison d'une querelle avec le chef d'orchestre titulaire Furtwängler.Il se marie en 1942 avec Anita Güterman, qui est d'origine juive .
Cela n'empêchera pas , à la fin de la guerre, qu'il soit poursuivi comme membre du parti nazi.
Durant toute la guerre, son génie musical explose et il donne des concerts dans de nombreuses capitales d'Europe.
C'est un homme austère, grand sportif, faisant de grandes promenades, amoureux de la nature. Il fuit la vie mondaine car il continue à vivre uniquement pour son art.
Après avoir été "dénazifié", il est enfin libre et peut donner des concerts en Amérique où, lors de son premier voyage, il est fraîchement accueilli du fait d'être resté en Allemagne, fermant les yeux sur les disparitions des juifs.
Puis c'est le triomphe, partout où il donne des concerts.
Il est le seul chef d'orchestre de musique classique à être idolâtré, au cours du vingtième siècle.
Hormis son milieu professionnel où il donne le meilleur de lui-même, il se détend avec sa famille car il s' est remarié avec un jeune mannequin français, et pratique de nombreux sports.
Cet homme a fait corps avec la musique presque jusqu'à sa mort en juillet 1989 à l'âge de 81 ans.
Cette biographie, fort intéressante est, toutefois, très longue à lire en raison du nombre de concerts ou d'opéras qu''il
a donnés, du nombre d'artistes de très grand talent-il a dirigé Maria Callas-et de compositeurs interprétés.
De plus, passionné par les technologies nouvelles, il s' adonné à la mise en scène et à bien d'autres activités.
Karajan, l'homme aux sept vies, toutes au service de la musique.
Ce géant de la musique est né en 1908 à Salzbourg, dans une famille de petite noblesse. Il est un enfant très aimé. Très jeune, il est un virtuose du piano mais il doit abandonner la carrière de pianiste, en raison de violentes douleurs dans les mains.
C'est alors qu'il décide de devenir chef d'orchestre. Il recevra l'enseignement des plus grands musiciens de l'époque dont le maître Paumgartner. Àgé de 21 ans, Il commence sa fabuleuse carrière à Ulm, avec un orchestre à reconstruire. Très vite, avec ses premiers concerts, il rencontre le succès, même s'il n'a que de petits budgets pour monter ses spectacles.
En janvier 1933, le monde a basculé, Hitler est devenu Chancelier, mais le chef d'orchestre refuse de quitter l'Allemagne, ne voyant pas ce qui se passe autour de lui, alors les musiciens d'origine juive fuient à l'étranger.
Inquiet sur son sort, Karajan s' inscrit au parti national-socialiste, sans penser aux conséquences futures.
Il ne sera jamais un militant.
Il faut dire qu'Herbert n'a qu'une obsession: la musique, rien que la musique dans sa perfection et sa volonté d'être toujours le meilleur, le premier.
En 1934, il est nommé à Aix la Chapelle. C'est là qu'il rencontre sa première épouse, chanteuse d'opérette, mais le mariage fut éphémère.
Il est très vite appelé à Berlin (1938) oú ses concerts sont des triomphes. Il joue devant le Führer mais sera vite en disgrâce en raison d'une querelle avec le chef d'orchestre titulaire Furtwängler.Il se marie en 1942 avec Anita Güterman, qui est d'origine juive .
Cela n'empêchera pas , à la fin de la guerre, qu'il soit poursuivi comme membre du parti nazi.
Durant toute la guerre, son génie musical explose et il donne des concerts dans de nombreuses capitales d'Europe.
C'est un homme austère, grand sportif, faisant de grandes promenades, amoureux de la nature. Il fuit la vie mondaine car il continue à vivre uniquement pour son art.
Après avoir été "dénazifié", il est enfin libre et peut donner des concerts en Amérique où, lors de son premier voyage, il est fraîchement accueilli du fait d'être resté en Allemagne, fermant les yeux sur les disparitions des juifs.
Puis c'est le triomphe, partout où il donne des concerts.
Il est le seul chef d'orchestre de musique classique à être idolâtré, au cours du vingtième siècle.
Hormis son milieu professionnel où il donne le meilleur de lui-même, il se détend avec sa famille car il s' est remarié avec un jeune mannequin français, et pratique de nombreux sports.
Cet homme a fait corps avec la musique presque jusqu'à sa mort en juillet 1989 à l'âge de 81 ans.
Cette biographie, fort intéressante est, toutefois, très longue à lire en raison du nombre de concerts ou d'opéras qu''il
a donnés, du nombre d'artistes de très grand talent-il a dirigé Maria Callas-et de compositeurs interprétés.
De plus, passionné par les technologies nouvelles, il s' adonné à la mise en scène et à bien d'autres activités.
