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Critique de jwpack
Je n'ai eu qu'un seul coup de coeur jusqu'à maintenant en 2012. le livre que je critique aujourd'hui y est presque arrivé. Il y a touché. Vous verrez tout ça un peu un peu plus bas. Il s'agit d'un récit de science-fiction, style que j'affectionne et qui a été écrit en 2007. J'ai d'ailleurs le deuxième tome en attente de lecture.
Je chronique « La dixième planète, Tome 1 : Nubiru » de l'auteur Paul Renard. Un bouquin de 555 pages qui m'a été envoyé par les éditions Atria. On pourrait classer cette oeuvre comme étant un Planet Opéra, un sous genre de « Sci-Fi ». Il y a une petite part de Space Opéra également, mais elle est secondaire.
Le résumé ci-haut est relativement vague. Nous entamons donc le roman sans trop d'indices sur le récit. En fait, l'histoire se déroule principalement il y a des millions d'années. Des êtres de l'astre Nubiru découvrent qu'ils doivent quitter leurs planètes puisqu'un évènement cataclysme se produira sous peu. Ils décident alors de se rendre sur Am'xo pour la survie de l'espèce. On y retrouve également des chapitres dans notre présent, donc celui d'une station pétrolière qui bute sur un obstacle étrange et deux scientifiques qui discutent de la naissance de Terre. Évidemment, tout se rejoindra plus tard dans la chute.
Les personnages, qui sont variés, sont tout de même attachants, surtout les protagonistes principaux de Nubiru. On y voit un fils qui trahit son père, le roi, pour tenter de le renverser et de prendre sa place sur le trône. Il y a aussi le héros, le libérateur, un conseiller du souverain qui sauvera peut-être la mise? Une dualité entre le bien et le mal comme on l'apprécie. Sans oublier ces experts du présent qui philosophent sur la naissance de la terre et de la vie préhistorique. Des hommes qui essaient de dépasser les limites de l'inconnue. On aime ça.
Comme toute oeuvre de science-fiction, il y a des technologies inventées par l'auteur. Renard réussi à les employer sans trop nous perdre. Ces instruments, que ce soit les soucoupes volantes ou bien le scanneur cervical, ils ont leurs qualités, mais également leurs défauts. L'environnement et les outils utilisés sont réalistes et apportent même son lot de problèmes aux personnages. La plume est aussi facile et fluide. Je n'ai pas buté sur des difficultés, à mon plus grand plaisir.
Ç'aurait pu être un coup de coeur. Malheureusement arrive la finale. Sans vous dévoiler la chute, il y a à la conclusion beaucoup trop de mysticisme. Un chapitre qui aurait dû carrément être mis de côté. L'aspect science-fiction est tellement intéressant, que la spiritualité évoquée refroidit les ardeurs. C'est comme si on était floué, car c'est totalement hors contexte. Une tentative de moralisation échouée qui m'a fait penser au mouvement fort populaire dans les années 90.
Finalement,
Si ce n'était de cette fin, qui m'a terriblement déçu, le livre aurait été un coup de coeur. À lire pour le voyage, car il est sublime, en mettant de côté l'arrivée.
On aime : les thèmes, les personnages, l'intrigue, la plume fluide
On n'aime pas : la finale spirituelle décevante.
Lien : http://www.sergeleonard.net/..
Je chronique « La dixième planète, Tome 1 : Nubiru » de l'auteur Paul Renard. Un bouquin de 555 pages qui m'a été envoyé par les éditions Atria. On pourrait classer cette oeuvre comme étant un Planet Opéra, un sous genre de « Sci-Fi ». Il y a une petite part de Space Opéra également, mais elle est secondaire.
Le résumé ci-haut est relativement vague. Nous entamons donc le roman sans trop d'indices sur le récit. En fait, l'histoire se déroule principalement il y a des millions d'années. Des êtres de l'astre Nubiru découvrent qu'ils doivent quitter leurs planètes puisqu'un évènement cataclysme se produira sous peu. Ils décident alors de se rendre sur Am'xo pour la survie de l'espèce. On y retrouve également des chapitres dans notre présent, donc celui d'une station pétrolière qui bute sur un obstacle étrange et deux scientifiques qui discutent de la naissance de Terre. Évidemment, tout se rejoindra plus tard dans la chute.
Les personnages, qui sont variés, sont tout de même attachants, surtout les protagonistes principaux de Nubiru. On y voit un fils qui trahit son père, le roi, pour tenter de le renverser et de prendre sa place sur le trône. Il y a aussi le héros, le libérateur, un conseiller du souverain qui sauvera peut-être la mise? Une dualité entre le bien et le mal comme on l'apprécie. Sans oublier ces experts du présent qui philosophent sur la naissance de la terre et de la vie préhistorique. Des hommes qui essaient de dépasser les limites de l'inconnue. On aime ça.
Comme toute oeuvre de science-fiction, il y a des technologies inventées par l'auteur. Renard réussi à les employer sans trop nous perdre. Ces instruments, que ce soit les soucoupes volantes ou bien le scanneur cervical, ils ont leurs qualités, mais également leurs défauts. L'environnement et les outils utilisés sont réalistes et apportent même son lot de problèmes aux personnages. La plume est aussi facile et fluide. Je n'ai pas buté sur des difficultés, à mon plus grand plaisir.
Ç'aurait pu être un coup de coeur. Malheureusement arrive la finale. Sans vous dévoiler la chute, il y a à la conclusion beaucoup trop de mysticisme. Un chapitre qui aurait dû carrément être mis de côté. L'aspect science-fiction est tellement intéressant, que la spiritualité évoquée refroidit les ardeurs. C'est comme si on était floué, car c'est totalement hors contexte. Une tentative de moralisation échouée qui m'a fait penser au mouvement fort populaire dans les années 90.
Finalement,
Si ce n'était de cette fin, qui m'a terriblement déçu, le livre aurait été un coup de coeur. À lire pour le voyage, car il est sublime, en mettant de côté l'arrivée.
On aime : les thèmes, les personnages, l'intrigue, la plume fluide
On n'aime pas : la finale spirituelle décevante.
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