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Critique de RosenDero
Dans le vieux monde, les dieux du Chaos parviennent aisément à corrompre les simples mortels. Ainsi, des tribus entières prêtent allégeance à ces sombres divinités et voient leurs membres récompensés par d'horribles mutations ou des pouvoirs inhumains.
Heureusement, les rivalités opposant ces hordes dépravées les empêchent de faire bloc, les tenant occupées, loin de l'Empire et de ses honnêtes citoyens.
Mais les apparences sont parfois trompeuses, le calme précède généralement la tempête, et dans le monde de Warhammer, l'ennemi vient souvent de l'intérieur…
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Les méchants sont de sortie ! Un roman qui donne la part belle aux êtres maléfiques en changeant de point de vue à chaque chapitre et en montrant la montée en puissance d'un champion du dieu du sang aussi bien que celle d'un sergent de l'Empire (le "héros" anti-héros).
J'ai dévoré ce bouquin, surtout sa première partie qui met en place les pièce du puzzle tout en gardant ce côté « la vie ne tient qu'à un fil » qui tient en haleine et laisse supposer du pire à chaque fin de chapitre (mais qui va crever le premier ?).
C'est un page turner ultra efficace, qui comblera les fans de l'univers, qui satisfera sans problème les adeptes de récits noirs et de fatalisme, qui réjouira les aficionados de combats épiques, d'actes héroïques et de situations désespérées, et qui saura même surprendre ceux qui vilipendent les Deus Ex Machina ou crient haro aux situations cousues de fil blanc.
Alors bien sûr ce n'est pas de la grande littérature ; oui la traduction française laisse parfois à désirer ; certes la fin est un peu rapide quand on la compare avec le reste du livre ; en effet la dichotomie chaos/lumière est simpliste... On pourrait regretter la facilité déstabilisante avec laquelle certains personnages hautement prometteurs perdent la vie ou se sacrifient, on pourrait se lamenter de ne pas avoir accès à des développement plus poussés, mais on se souviendra qu'il s'agit d'un one shot largement vulgarisateur pour satisfaire les incultes (^^) et suffisamment précis et suggestif pour assouvir ou inciter les amateurs.
Heureusement, les rivalités opposant ces hordes dépravées les empêchent de faire bloc, les tenant occupées, loin de l'Empire et de ses honnêtes citoyens.
Mais les apparences sont parfois trompeuses, le calme précède généralement la tempête, et dans le monde de Warhammer, l'ennemi vient souvent de l'intérieur…
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Les méchants sont de sortie ! Un roman qui donne la part belle aux êtres maléfiques en changeant de point de vue à chaque chapitre et en montrant la montée en puissance d'un champion du dieu du sang aussi bien que celle d'un sergent de l'Empire (le "héros" anti-héros).
J'ai dévoré ce bouquin, surtout sa première partie qui met en place les pièce du puzzle tout en gardant ce côté « la vie ne tient qu'à un fil » qui tient en haleine et laisse supposer du pire à chaque fin de chapitre (mais qui va crever le premier ?).
C'est un page turner ultra efficace, qui comblera les fans de l'univers, qui satisfera sans problème les adeptes de récits noirs et de fatalisme, qui réjouira les aficionados de combats épiques, d'actes héroïques et de situations désespérées, et qui saura même surprendre ceux qui vilipendent les Deus Ex Machina ou crient haro aux situations cousues de fil blanc.
Alors bien sûr ce n'est pas de la grande littérature ; oui la traduction française laisse parfois à désirer ; certes la fin est un peu rapide quand on la compare avec le reste du livre ; en effet la dichotomie chaos/lumière est simpliste... On pourrait regretter la facilité déstabilisante avec laquelle certains personnages hautement prometteurs perdent la vie ou se sacrifient, on pourrait se lamenter de ne pas avoir accès à des développement plus poussés, mais on se souviendra qu'il s'agit d'un one shot largement vulgarisateur pour satisfaire les incultes (^^) et suffisamment précis et suggestif pour assouvir ou inciter les amateurs.
