Forte d'un titre danielbalavoinien en diable,
Patricia Reznikov a tout misé sur un jeu d'oppositions incongru, comme d'autres misent toutes leurs économies sur Scolie de Brassière dans la cinquième (sauf que eux auraient gagné) dans l'espoir sans doute de créer chez le lecteur une surprise plein d'admiration. L'auteur conçoit hélas l'idée d'allier dialogues aussi plats que l'arrière-pays flamand, et les vers et pensées du héros. Ce livre ne sera ni le fils, ni la bataille du prix Virilo :
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http://prixvirilo.com/2011/0.. Commenter  J’apprécie         20